Durant
le week-end qui vient de s’écouler, le monde entier a pu découvrir la suite du
feuilleton « Mensonges sur le républicain Jean Christophe Owono Nguema ».
Dans
un grossier montage vidéo, digne de véritables amateurs, la communauté
nationale et internationale qui navigue sur le web a véritablement compris que
le pouvoir PDG et ses tenants sont gravement aux abois, totalement paniqués et
peinent à cacher leur extrême peur face
à l’adhésion grandissante du peuple gabonais à l’idée d’une Conférence
Nationale Souveraine (CNS) qui est désormais inévitable.
En
effet, ces derniers, au lieu de commencer à réfléchir plus sérieusement sur ce
qu’ils viendront proposer à la CNS, viennent de s’illustrer dans un amateurisme
inqualifiable au point même d’être incapables de rendre cohérent deux éléments qu’eux-mêmes
ont enregistrés et fabriqués pour nuire à la personne de Owono Nguema Jean
Christophe (ONJC) qui avait su dire
« NON » à la réforme anticonstitutionnelle opérée en 2010 par les tenants
du pouvoir.
Ces
actes posés, traduisant et exprimant une fébrilité certaine, nous rappelle dans
son fond comme dans sa forme des grossiers mensonges pondus par Francis Salla
Ngoua Beaud qui affirmait qu’André Mba Obame avait préparé en 2009 un bain de
sang. Cependant, ce qu’on a constaté face à ce ridicule montage qui avait malheureusement
semblé « vrai » dans le contexte chaud du moment est que, André Mba
Obame n’a jamais été interpellé pour répondre de cette accusation devant la
justice quand, Jean Philippe Ntumpa Lébani a été incarcéré pour des accusations
presque de même nature. Allons y comprendre quelque chose.
Hélas
ces deux montages sur ONJC ne peuvent convaincre personne, pas même les
commanditaires eux-mêmes, car il est devenu de notoriété internationale que le pouvoir
en place au Gabon semble s’être spécialisé dans la fabrication de faux.
Faux
sur l’affaire racontée par Francis Salla Ngoua Beaud. Faux sur le fameux coup d’Etat
monté par la « Griffe de Cotonou » qui accusait Basile Mve Engone,
Marc Ona, Paulette Oyane Ondo et un forestier espagnol. Faux dans l’invitation
à l’université du parti socialiste tenu à la Rochelle. Faux dans le pseudo
assassinat imaginaire de Raphael Ntoutoume Nkoghe, auteur du livre « Lumière
sur le Gabon » qui insulte copieusement la famille Bongo, le PDG et le
régime en place qu’il sert aujourd’hui avec un zèle que n’ont même pas les
PDGistes de la première heure. Faux dans l’assassinat des poules de la
République par le même Raphael Ntoutoume Nkoghe. Faux dans la déclaration de la
prétendue disparition d’André Mba Obame. Faux dans les attaques montées contre
la personne de Marc Ona Essangui. Faux dans les accusations sur la vie privée
de Jean Eyeghe Ndong…
« La
vérité demeurera toujours fille du temps » et nous y sommes avec l’analyse
des deux vidéos montées pour nuire à l’ancien député de la Commune d’Oyem, « ONJC ».
C’est
dans le journal la « Griffe de Cotonou », numéro 507
du mardi 14 août 2012, que le peuple gabonais découvrait l’histoire de ce
fameux enregistrement de « ONJC » qui inviterait un certain pyromane
nommé Bibang à mettre le feu dans Libreville.
Dans
le souci de rétablir une vérité plus qu’indispensable en ce temps de crise éminemment
explosive, nous nous sommes attelés à faire une analyse minutieuse des deux
montages enregistrés réalisés par les tenants du pouvoir gabonais qui tentent,
malhabilement et par tous les moyens, de s’opposer au dialogue national plus
que nécessaire avant que le peuple
Gabonais ne décide de retrouver sa légitime souveraineté par la violence comme
cela s’était fait en Egypte, en Tunisie et en Libye où les institutions
fonctionnaient très bien mais au profit d’un système, d’un clan et d’un
individu.
Inutile
de préciser que nous n’avons nullement pour ambition de faire perdurer ou
d’aggraver le bilan négatif dénoncé par Omar Bongo Ondimba lors de son discours
historique du 06 janvier 2009.
C’est
pourquoi, ce travail d’analyse des deux éléments étudiés sera ensuite envoyé à
différentes institutions internationales, la Commission de l’Union Africaine,
la Commission de l’Union Européenne, la Commission des Droits de l’Homme des
Nations Unies, la France, l’Angleterre et les Etats-Unis afin d’étouffer
l’intoxication régulière et fréquente orchestrée par le pouvoir gabonais visant
à faire passer la victime pour le bourreau et le bourreau pour la victime. Des
méthodes de victimisation qui sont aujourd’hui fortement reprochées à Bachard
El Assad de Syrie.
Ce
travail de communication et d’information est plus qu’indispensable dans la
prévention de l’affrontement mortel fortement en gestation dans notre pays si
le pouvoir en place continue de ne pas donner un autre choix au peuple Gabonais
que celui de la légitime violence et de la légitime défense de ses droits les
plus élémentaires. Une gestion accrombessienne, nous n’en voulons pas car rien
de bon ne peut y sortir. On ne peut construire de bonnes et belles maisons avec
des maçons manchots.
De
plus, ce travail de communication viendra réconforter les affirmations,
diverses et nombreuses, tenues par tous les amis et frères du Gabon rencontrés
qui constatent avec amertume la situation de crise grandissante et qui
n’entendent pas voir ce pays à feu et à sang par le simple fait du refus de
dialogue d’une partie négligeable de la population, accrochée à ses mirobolants
privilèges.
Dans
la bande sonore de « 4 minutes 07 secondes »
intitulée « Conversation sonore de Jean Christophe Owono Nguema »,
datée du 14 août 2012 et mise en ligne par un certain Michel Ogandaga, un
aboyeur du pouvoir qui a appris à manger le beurre en plaque et le lait en
poudre depuis qu’il squatte quotidiennement les couloirs du palais présidentiel
du Gabon, il serait question d’un enregistrement d’une soit disant conversation
entre « ONJC » et un certain Bibang dont l’identité est révélée dans
la seconde vidéo mise en ligne le 16 novembre 2012 par la même source qui a
intitulé le nouveau chef d’œuvre du pouvoir de « 20 minutes 27 secondes » :
« Bibang, ex pyromane de Jean Christophe Owono Nguema balance et accuse ».
Dans
le premier enregistrement du 14 août 2012, qui est essentiellement en langue
fang et auquel nous procédons à une traduction fidèle en langue française, le
fameux Bibang qui affirme avoir été envoyé par « ONJC », l’ancien
député de la commune d’Oyem, pour mettre le feu dans une partie de Libreville
disait ceci à la « 27ème seconde » : « Quand
tu as entendu que le marché a d’abord brûlé , le marché devant lequel on vient
de passer, dans la zone d’Akebé, c’est moi qui l’avait brûlé. Oui, on vient
juste de le reconstruire ».
A
la « 39ème
seconde » le fameux Bibang le gangster déclarait: « j’ai
une équipe de jeunes. Quand les jeunes sont sur le terrain, tu ne peux pas les
voir. Tu ne les verras pas. Tu sais que moi-même je suis un ancien
« voleur » ».
A
la « 46ème
seconde », le fameux Bibang disait encore ceci : « Non,
c’est prêt ».
Avant
de rajouter à la « 1ère minute 15 secondes » :
« Les gars sont prêts ».
Puis,
à « 1
minute 24 secondes » : « Ca permet qu’aujourd’hui, je
termine de faire les achats qu’il faut ».
A
« 1 minute
30 secondes » : « Je prendrai la zone telle que, tu vois
le tour qu’on fait là, qui part de Rio, tu prends le côté qui rentre dans
Venez-Voir, feu rouge de la Prairie jusqu’au Carrefour qui va sortir jusqu’au Sporting,
qui va partir jusqu’à chez moi. Donc c’est dans cette zone là que les jeunes
vont opérer ».
A
« 1 minute
51 secondes » : « Il faut poser des actes qui
feront en sorte que les gens s’énervent. Même un parking où les gens vendent
des voitures, ils jetteront (le feu) ».
Après
un coup de fil reçu entre temps par le soit disant « ONJC », à
« 3 minutes
20 secondes », le fameux délinquant Bibang ajouta « J’ai
un genre de gars, quand ils sont bien entretenus, ils font ce qu’il faut comme
il le faut».
Voici
les éléments importants de la bande sonore accusant le patriote « ONJC »,
ancien député d’Oyem et devenu paria du pouvoir en place pour le simple fait
d’avoir refusé de cautionner la modification anticonstitutionnelle de la
Constitution en 2010 opérée par les tenants du pouvoir.
Dans
le grossier second montage vidéo dans lequel le fameux délinquant Bibang
viendrait témoigner, il faut tout de suite relever les différents vices de
formes qui confirment que nous ne sommes pas face à un témoignage au sens
propre du terme mais face à un montage commandité et manipulé. D’ailleurs en
regardant cette grossière vidéo de « 20 minutes 27 secondes »
précisément, vous pourrez vous apercevoir qu’on n’est pas face à un échange en
continue.
A
« 13 minutes 55 secondes» et à « 17 minutes 18 secondes »
vous avez respectivement un montage vidéo séquentiel. Ensuite, vous pourrez
constater que le journaliste qui pose les questions s’invite régulièrement dans
les propos tenus par le fameux Bibang. Tout d’abord, par ses nombreux acquiescements
et par le fait qu’il sert de bête à penser de celui qu’il interroge. Et comme
vous le remarquerez également, ce journaliste semble être un occidental en
raison de l’assonance du timbre de sa voie ainsi que par la prononciation de
certains mots comme, « fang », « Owono Nguema ».
Ensuite
lorsque dans la grossière vidéo, le fameux gangster Bibang à « 17 minutes 45 secondes » explique le
trajet sur lequel devait se passer les opérations de destruction, il donne la
précision qui prouve qu’il s’adresse à une personne qui ne connaît pas les
quartiers de Libreville. Il dit précisément : « … feu rouge de la Prairie, jusqu’au carrefour de chez, heu, ca
s’appelle Sporting club… ».
La
question qu’on peut tout de suite se poser est de savoir pourquoi une affaire
qui serait devant la justice selon les propos du fameux voleur Bibang ressort
de cette manière sur l’espace public ? Et pourquoi cette affaire est mise
sur la place publique alors que la procédure judiciaire serait encore en cours ?
Si le menteur Bibang se sent réellement menacé, pourquoi les forces de l’ordre,
sensées protéger les citoyens, ne s’occupent pas discrètement de cette
situation ? Est-ce un sentiment d’impuissance ou bien c’est parce que nous
sommes justement face à un faux document ?
Ce
foisonnement d’interrogations ne pet que nous conduire à penser à une
manipulation et à une instrumentalisation inacceptable qui porte sérieusement
atteint à la dignité d’un citoyen en la personne de « ONJC ».
Dans
la même vidéo mensongère, à « 16 minutes 42
secondes », le fameux manipulateur Bibang déclarait : « la
question que je voulais lui poser (à Jean Christophe Owono Nguema) est de
savoir qu’est ce qui l’a motivé de venir
vers moi connaissant ma position politique… ».
En
effet, la question mérite vraiment d’être posée car, qui peut croire, si cette
histoire était vraiment vraie que « ONJC », avec tous les Gabonais
qui ne supportent plus le pouvoir en place, aurait pris le risque suicidaire
mais surtout idiot d’aller vers « un soit disant inconnu » qu’il savait
pourtant membre du parti au pouvoir afin d’inviter ce dernier à brûler une
partie de Libreville ? Vous voyez chers lecteurs qu’on est face à une imbécillité
à dormir debout et à un mensonge que même les enfants de la maternelle ne
peuvent y apporter un moindre crédit.
Et
pire, à « 2minutes 29 secondes » de
ce montage grossier vidéo à deux balles, le fameux menteur Bibang confirmait que
c’était bel et bien lui qui échangeait avec « ONJC » à bord de son
véhicule. Mais a-t-il oublié que dans la bande sonore il n’était pas question
d’un monologue ? Et que dans cette bande il reconnaissait avoir sous sa
coupe des jeunes délinquants acquis à ses basses besognes ? Qu’il était un
ancien voleur ? Que durant cet entretien il avait révélé au soit disant
Jean Christophe Owono Nguema que c’était lui, Bibang, qui avait brûlé le marché
qui venait d’être reconstruit à Akébé?
A
« 14 minutes 8 secondes » du
grossier montage vidéo, le fameux voleur Bibang soulignait : « Dans
les 40 minutes qui suivaient la conversation que j’ai eu avec Jean Christophe
Owono Nguema, certaines personnalités avaient déjà été informées du dossier.
J’ai donné tous les renseignements au B2, à la police judiciaire, parce que
j’ai lancé une action judiciaire contre monsieur Jean Christophe Owono Nguema.
Je suis plaignant ».
A
écouter ces affirmations graves du fameux menteur et escroc Bibang, nous
pouvons désormais certifier aux yeux de la communauté internationale que les
institutions de notre pays ne fonctionnent pas correctement et de ce fait,
elles méritent d’être repensées en profondeur par la tenue d’une Conférence
Nationale Souveraine. Car, comment peut-on concevoir que dans une bande sonore
remise à des organes sensés faire régner l’ordre dans notre pays, et dans
laquelle un individu reconnaît avoir mis le feu dans un marché et être le
maître d’un gang de délinquants, ce dernier n’ait pas fait l’objet d’une
interpellation voire même d’une arrestation face à un aveu indiscutable ?
N’est ce pas encore plus grave que l’acte dénoncé par ce fameux menteur et
délinquant Bibang qui ne semble pas inquiété par le contenu accablant de
son propre enregistrement? L’Etat protègera t-il désormais les gangsters ?
Sans commentaires…
Dans
la même occasion, il faut préciser l’incohérence pour ne pas dire le mensonge
clairement visible débité par le fameux gangster Bibang quand à « 11 minutes 31 secondes » de la grossière
vidéo mensongère, il déclarait : « si je connaissais personnellement
comment faire un droit de réponse, je l’aurai fait. Je sais que c’est un
journal (Echos du Nord) qui est voué à une cause… » (qui
avait abordé cette affaire).
Est-il
encore nécessaire de rappeler ici que le journal « Echos du Nord », qui
est apparenté « opposition », est resté, après la suspension
pour 6 mois des journaux Ezombolo et La Une, le seul journal de
l’opposition fortement apprécié par les populations gabonaises pour ses
transcriptions fidèles de la réalité sociopolitique qui sévit, accable et tue
les Gabonais dans leur propre pays ?
Cependant,
comme la vérité ne s’invente pas parce qu’elle est, à « 16 minutes 44 secondes » de la même vidéo
mensongère, le fameux menteur Bibang précisait : «Je suis porte parole d’une grande
association qui lutte pour le maintien de la paix dans ce pays. J’interviens
longuement dans la télévision, dans les médias… ».
Au
regard de cette contradiction flagrante, on ne peut que se demander, quel est
ce porte parole, quel est ce type d’individu qui interviendrait régulièrement
dans les médias qui ne saurait point faire un droit de réponse s’il se
sent diffamé par un journal? Vous comprenez tout de suite qu’on est face à
un menteur qui est en pleine séance d’intoxication.
Ensuite,
à « 12 minutes 01 seconde » de
la grossière vidéo enregistrée, Bibang le menteur déclarait : « la
traduction qui a été faite là-dessus (bande sonore sus évoquée), c’est les mots
que monsieur Jean Christophe Owono Nguema a entretenu à mon égard lorsqu’il m’a
demandé de recruter des jeunes afin que les jeunes descendent dans la rue pour
brûler… Les hommes politiques qui en ont fait la traduction n’avait pas l’info
juste ».
En
écoutant ces propos, on constate que les commanditaires ont oublié de créer une
véritable cohérence entre la bande sonore préfabriquée du 14 août 2012 et la
vidéo totalement mensongère du 16 novembre 2012.
Sachant
que le menteur Bibang avait donné toutes les infos à qui de droit (B2 et police
judiciaire) et qu’à la suite de cette dénonciation il avait déposé une plainte
contre « ONJC », qui avait alors mis cette affaire à dormir debout sur
l’espace public en donnant de fausses informations ? En plus, dans cette grossière
vidéo où seuls les menteurs peuvent y comprendre quelque chose, le menteur et
gangster Bibang, à « 2 minutes 04
secondes » dit ensuite qu’il souhaite sortir de l’anonymat.
De ce fait, qui alors était allé déposer la bande sonore auprès du B2 et de la
police judiciaire ? Sauf à croire que l’individu menteur ne saurait pas le
sens des mots anonymat et dénonciation.
Enfin,
à partir « 1 minute 20 secondes » et
dès la « 8ème minute et 37 secondes »,
Bibang le menteur, dans un esprit instrumentalisé, vient réciter tel un
perroquet affamé et en manque de noix, toute la litanie d’arguments soutenus et
utilisés par le pouvoir pour réfuter la tenue de la Conférence Nationale Souveraine.
Ce qui prouve que, ces montages étant tellement gros pour ne pas dire grossiers,
nul ne peut les prendre au sérieux ou en considération car ils sont vraiment dignes
d’une inspiration de cerveau bourré d’aguidi. Et il ne serait nullement
étonnant que les faussaires reconnus internationalement, Bilié Bi Nzé, Liban
Souleymane ou Raphael Ntoutoume Nkoghe
ne soient pas à l’origine de cet énième faux et usage de faux.
Chers
lecteurs, nous vous avons présenté une partie de l’analyse des manipulations de
certains tenants du pouvoir qui savent que s’ils continuent de refuser l’idée
de la Conférence Nationale Souveraine, s’ils tentent de jouer la politique de
la chaise vide comme l’ont fait les membres de l’opposition lors des élections
législatives d’octobre 2011 au Gabon, ils se retrouveront inévitablement sur le
carreau et n’offriront pas à la population un autre choix que la légitime
violence soutenue par la communauté internationale.
C’est
d’ailleurs l’occasion de dire à ces réfractaires que la communauté
internationale qui suit de très près la question de la situation électrique et explosive
du Gabon vient de reconnaître l’opposition syrienne comme elle avait reconnu le
Conseil National de la Transition de Libye. Le Gabon n’échappera pas à cette nouvelle
formule pacifique de mettre hors du pouvoir les responsables politiques qui
perdent toute légitimité lorsque la majorité du peuple demande leur départ.
Par
conséquent, que le pouvoir gabonais incarné par Maixent Accrombessi sache que s’il
continue sur la voie de l’arrogance et du refus du dialogue national souverain qui
est vivement souhaité par le plus grand nombre de citoyens gabonais, il sera
très rapidement décrotté. La CNS n’a pas pour but de tuer les institutions mais
de les rendre plus justes et plus républicaines à travers une révision complète
de leur fonctionnement.
Enfin,
il ne sert à rien de mettre son génie dans la conception de faux documents
mensongers qui alourdissent le dossier inquiétant de ce pouvoir, mais de
préserver ce reste d’imagination pour contribuer aux séances et aux commissions
de réflexion qui se feront durant la Conférence Nationale Souveraine. Que l’esprit
de Francis Salla Ngoua Beaud sort de notre pays, nul ne se baignera deux fois
avec l’eau du même fleuve.
Par
Télesphore OBAME NGOMO
Voici les deux liens des fameuses vidéos mensongères du feuilleton "Mensonges sur Jean Christophes Owono Nguema"
1. Conversation sonore avec Jean Christophe Owono Nguema: http://www.youtube.com/watch?v=LEYZHKEZ-0o
2. Bibang, ex pyromane de Jean christophe Owono Nguema balance et dénonce: http://www.youtube.com/watch?v=TLHFqwvPI-Y&feature=share
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