lundi 19 novembre 2012

Esprit de Francis Salla Ngoua Beaud, sort de ce pays…


Durant le week-end qui vient de s’écouler, le monde entier a pu découvrir la suite du feuilleton « Mensonges sur le républicain Jean Christophe Owono Nguema ».

Dans un grossier montage vidéo, digne de véritables amateurs, la communauté nationale et internationale qui navigue sur le web a véritablement compris que le pouvoir PDG et ses tenants sont gravement aux abois, totalement paniqués et peinent à cacher leur  extrême peur face à l’adhésion grandissante du peuple gabonais à l’idée d’une Conférence Nationale Souveraine (CNS) qui est désormais inévitable.

En effet, ces derniers, au lieu de commencer à réfléchir plus sérieusement sur ce qu’ils viendront proposer à la CNS, viennent de s’illustrer dans un amateurisme inqualifiable au point même d’être incapables de rendre cohérent deux éléments qu’eux-mêmes ont enregistrés et fabriqués pour nuire à la personne de Owono Nguema Jean Christophe  (ONJC) qui avait su dire « NON » à la réforme anticonstitutionnelle opérée en 2010 par les tenants du pouvoir.

Ces actes posés, traduisant et exprimant une fébrilité certaine, nous rappelle dans son fond comme dans sa forme des grossiers mensonges pondus par Francis Salla Ngoua Beaud qui affirmait qu’André Mba Obame avait préparé en 2009 un bain de sang. Cependant, ce qu’on a constaté face à ce ridicule montage qui avait malheureusement semblé « vrai » dans le contexte chaud du moment est que, André Mba Obame n’a jamais été interpellé pour répondre de cette accusation devant la justice quand, Jean Philippe Ntumpa Lébani a été incarcéré pour des accusations presque de même nature. Allons y comprendre quelque chose.

Hélas ces deux montages sur ONJC ne peuvent convaincre personne, pas même les commanditaires eux-mêmes, car il est devenu de notoriété internationale que le pouvoir en place au Gabon semble s’être spécialisé dans la fabrication de faux.

Faux sur l’affaire racontée par Francis Salla Ngoua Beaud. Faux sur le fameux coup d’Etat monté par la « Griffe de Cotonou » qui accusait Basile Mve Engone, Marc Ona, Paulette Oyane Ondo et un forestier espagnol. Faux dans l’invitation à l’université du parti socialiste tenu à la Rochelle. Faux dans le pseudo assassinat imaginaire de Raphael Ntoutoume Nkoghe, auteur du livre « Lumière sur le Gabon » qui insulte copieusement la famille Bongo, le PDG et le régime en place qu’il sert aujourd’hui avec un zèle que n’ont même pas les PDGistes de la première heure. Faux dans l’assassinat des poules de la République par le même Raphael Ntoutoume Nkoghe. Faux dans la déclaration de la prétendue disparition d’André Mba Obame. Faux dans les attaques montées contre la personne de Marc Ona Essangui. Faux dans les accusations sur la vie privée de Jean Eyeghe Ndong…

« La vérité demeurera toujours fille du temps » et nous y sommes avec l’analyse des deux vidéos montées pour nuire à l’ancien député de la Commune d’Oyem, « ONJC ».

C’est dans le journal la « Griffe de Cotonou », numéro 507 du mardi 14 août 2012, que le peuple gabonais découvrait l’histoire de ce fameux enregistrement de « ONJC » qui inviterait un certain pyromane nommé Bibang à mettre le feu dans Libreville.

Dans le souci de rétablir une vérité plus qu’indispensable en ce temps de crise éminemment explosive, nous nous sommes attelés à faire une analyse minutieuse des deux montages enregistrés réalisés par les tenants du pouvoir gabonais qui tentent, malhabilement et par tous les moyens, de s’opposer au dialogue national plus que nécessaire avant que le  peuple Gabonais ne décide de retrouver sa légitime souveraineté par la violence comme cela s’était fait en Egypte, en Tunisie et en Libye où les institutions fonctionnaient très bien mais au profit d’un système, d’un clan et d’un individu.

Inutile de préciser que nous n’avons nullement pour ambition de faire perdurer ou d’aggraver le bilan négatif dénoncé par Omar Bongo Ondimba lors de son discours historique du 06 janvier 2009.

C’est pourquoi, ce travail d’analyse des deux éléments étudiés sera ensuite envoyé à différentes institutions internationales, la Commission de l’Union Africaine, la Commission de l’Union Européenne, la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies, la France, l’Angleterre et les Etats-Unis afin d’étouffer l’intoxication régulière et fréquente orchestrée par le pouvoir gabonais visant à faire passer la victime pour le bourreau et le bourreau pour la victime. Des méthodes de victimisation qui sont aujourd’hui fortement reprochées à Bachard El Assad de Syrie.

Ce travail de communication et d’information est plus qu’indispensable dans la prévention de l’affrontement mortel fortement en gestation dans notre pays si le pouvoir en place continue de ne pas donner un autre choix au peuple Gabonais que celui de la légitime violence et de la légitime défense de ses droits les plus élémentaires. Une gestion accrombessienne, nous n’en voulons pas car rien de bon ne peut y sortir. On ne peut construire de bonnes et belles maisons avec des maçons manchots.

De plus, ce travail de communication viendra réconforter les affirmations, diverses et nombreuses, tenues par tous les amis et frères du Gabon rencontrés qui constatent avec amertume la situation de crise grandissante et qui n’entendent pas voir ce pays à feu et à sang par le simple fait du refus de dialogue d’une partie négligeable de la population, accrochée à ses mirobolants privilèges.

Dans la bande sonore de « 4 minutes 07 secondes » intitulée « Conversation sonore de Jean Christophe Owono Nguema », datée du 14 août 2012 et mise en ligne par un certain Michel Ogandaga, un aboyeur du pouvoir qui a appris à manger le beurre en plaque et le lait en poudre depuis qu’il squatte quotidiennement les couloirs du palais présidentiel du Gabon, il serait question d’un enregistrement d’une soit disant conversation entre « ONJC » et un certain Bibang dont l’identité est révélée dans la seconde vidéo mise en ligne le 16 novembre 2012 par la même source qui a intitulé le nouveau chef d’œuvre du pouvoir de « 20 minutes 27 secondes » : « Bibang, ex pyromane de Jean Christophe Owono Nguema balance et accuse ».

Dans le premier enregistrement du 14 août 2012, qui est essentiellement en langue fang et auquel nous procédons à une traduction fidèle en langue française, le fameux Bibang qui affirme avoir été envoyé par « ONJC », l’ancien député de la commune d’Oyem, pour mettre le feu dans une partie de Libreville disait ceci à la « 27ème seconde » : « Quand tu as entendu que le marché a d’abord brûlé , le marché devant lequel on vient de passer, dans la zone d’Akebé, c’est moi qui l’avait brûlé. Oui, on vient juste de le reconstruire ».

A la « 39ème seconde »  le fameux Bibang le gangster déclarait: « j’ai une équipe de jeunes. Quand les jeunes sont sur le terrain, tu ne peux pas les voir. Tu ne les verras pas. Tu sais que moi-même je suis un ancien « voleur » ».

A la « 46ème seconde », le fameux Bibang disait encore ceci : « Non, c’est prêt ».

Avant de rajouter à la « 1ère minute 15 secondes » : « Les gars sont prêts ».

Puis, à « 1 minute 24 secondes » : « Ca permet qu’aujourd’hui, je termine de faire les achats qu’il faut ».

A « 1 minute 30 secondes » : « Je prendrai la zone telle que, tu vois le tour qu’on fait là, qui part de Rio, tu prends le côté qui rentre dans Venez-Voir, feu rouge de la Prairie jusqu’au Carrefour qui va sortir jusqu’au Sporting, qui va partir jusqu’à chez moi. Donc c’est dans cette zone là que les jeunes vont opérer ».  

A « 1 minute 51 secondes » : « Il faut poser des actes qui feront en sorte que les gens s’énervent. Même un parking où les gens vendent des voitures, ils jetteront (le feu) ».

Après un coup de fil reçu entre temps par le soit disant « ONJC », à « 3 minutes 20 secondes », le fameux délinquant Bibang ajouta « J’ai un genre de gars, quand ils sont bien entretenus, ils font ce qu’il faut comme il le faut».

Voici les éléments importants de la bande sonore accusant le patriote « ONJC », ancien député d’Oyem et devenu paria du pouvoir en place pour le simple fait d’avoir refusé de cautionner la modification anticonstitutionnelle de la Constitution en 2010 opérée par les tenants du pouvoir.

Dans le grossier second montage vidéo dans lequel le fameux délinquant Bibang viendrait témoigner, il faut tout de suite relever les différents vices de formes qui confirment que nous ne sommes pas face à un témoignage au sens propre du terme mais face à un montage commandité et manipulé. D’ailleurs en regardant cette grossière vidéo de « 20 minutes 27 secondes » précisément, vous pourrez vous apercevoir qu’on n’est pas face à un échange en continue.

A « 13 minutes 55 secondes» et à « 17 minutes 18 secondes » vous avez respectivement un montage vidéo séquentiel. Ensuite, vous pourrez constater que le journaliste qui pose les questions s’invite régulièrement dans les propos tenus par le fameux Bibang. Tout d’abord, par ses nombreux acquiescements et par le fait qu’il sert de bête à penser de celui qu’il interroge. Et comme vous le remarquerez également, ce journaliste semble être un occidental en raison de l’assonance du timbre de sa voie ainsi que par la prononciation de certains mots comme, « fang », « Owono Nguema ».

Ensuite lorsque dans la grossière vidéo, le fameux gangster Bibang à « 17 minutes 45 secondes » explique le trajet sur lequel devait se passer les opérations de destruction, il donne la précision qui prouve qu’il s’adresse à une personne qui ne connaît pas les quartiers de Libreville. Il dit précisément : « … feu rouge de la  Prairie, jusqu’au carrefour de chez, heu, ca s’appelle Sporting club… ».

La question qu’on peut tout de suite se poser est de savoir pourquoi une affaire qui serait devant la justice selon les propos du fameux voleur Bibang ressort de cette manière sur l’espace public ? Et pourquoi cette affaire est mise sur la place publique alors que la procédure judiciaire serait encore en cours ? Si le menteur Bibang se sent réellement menacé, pourquoi les forces de l’ordre, sensées protéger les citoyens, ne s’occupent pas discrètement de cette situation ? Est-ce un sentiment d’impuissance ou bien c’est parce que nous sommes justement face à un faux document ?

Ce foisonnement d’interrogations ne pet que nous conduire à penser à une manipulation et à une instrumentalisation inacceptable qui porte sérieusement atteint à la dignité d’un citoyen en la personne de « ONJC ».

Dans la même vidéo mensongère, à « 16 minutes 42 secondes », le fameux manipulateur Bibang déclarait : « la question que je voulais lui poser (à Jean Christophe Owono Nguema) est de savoir qu’est ce qui  l’a motivé de venir vers moi connaissant ma position politique… ».

En effet, la question mérite vraiment d’être posée car, qui peut croire, si cette histoire était vraiment vraie que « ONJC », avec tous les Gabonais qui ne supportent plus le pouvoir en place, aurait pris le risque suicidaire mais surtout idiot d’aller vers « un soit disant inconnu » qu’il savait pourtant membre du parti au pouvoir afin d’inviter ce dernier à brûler une partie de Libreville ? Vous voyez chers lecteurs qu’on est face à une imbécillité à dormir debout et à un mensonge que même les enfants de la maternelle ne peuvent y apporter un moindre crédit.

Et pire, à « 2minutes 29 secondes » de ce montage grossier vidéo à deux balles, le fameux menteur Bibang confirmait que c’était bel et bien lui qui échangeait avec « ONJC » à bord de son véhicule. Mais a-t-il oublié que dans la bande sonore il n’était pas question d’un monologue ? Et que dans cette bande il reconnaissait avoir sous sa coupe des jeunes délinquants acquis à ses basses besognes ? Qu’il était un ancien voleur ? Que durant cet entretien il avait révélé au soit disant Jean Christophe Owono Nguema que c’était lui, Bibang, qui avait brûlé le marché qui venait d’être reconstruit à Akébé?

A « 14 minutes 8 secondes » du grossier montage vidéo, le fameux voleur Bibang soulignait : « Dans les 40 minutes qui suivaient la conversation que j’ai eu avec Jean Christophe Owono Nguema, certaines personnalités avaient déjà été informées du dossier. J’ai donné tous les renseignements au B2, à la police judiciaire, parce que j’ai lancé une action judiciaire contre monsieur Jean Christophe Owono Nguema. Je suis plaignant ».
A écouter ces affirmations graves du fameux menteur et escroc Bibang, nous pouvons désormais certifier aux yeux de la communauté internationale que les institutions de notre pays ne fonctionnent pas correctement et de ce fait, elles méritent d’être repensées en profondeur par la tenue d’une Conférence Nationale Souveraine. Car, comment peut-on concevoir que dans une bande sonore remise à des organes sensés faire régner l’ordre dans notre pays, et dans laquelle un individu reconnaît avoir mis le feu dans un marché et être le maître d’un gang de délinquants, ce dernier n’ait pas fait l’objet d’une interpellation voire même d’une arrestation face à un aveu indiscutable ? N’est ce pas encore plus grave que l’acte dénoncé par ce fameux menteur et délinquant Bibang qui ne semble pas inquiété par le contenu accablant de son propre enregistrement? L’Etat protègera t-il désormais les gangsters ? Sans commentaires…

Dans la même occasion, il faut préciser l’incohérence pour ne pas dire le mensonge clairement visible débité par le fameux gangster Bibang quand à « 11 minutes 31 secondes » de la grossière vidéo mensongère, il déclarait : « si je connaissais personnellement comment faire un droit de réponse, je l’aurai fait. Je sais que c’est un journal (Echos du Nord) qui est voué à une cause… »  (qui avait abordé cette affaire).

Est-il encore nécessaire de rappeler ici que le journal « Echos du Nord », qui est apparenté « opposition », est resté, après la suspension pour 6 mois des journaux Ezombolo et La Une, le seul journal de l’opposition fortement apprécié par les populations gabonaises pour ses transcriptions fidèles de la réalité sociopolitique qui sévit, accable et tue les Gabonais dans leur propre pays ?

Cependant, comme la vérité ne s’invente pas parce qu’elle est, à « 16 minutes 44 secondes » de la même vidéo mensongère, le fameux menteur Bibang précisait : «Je suis porte parole d’une grande association qui lutte pour le maintien de la paix dans ce pays. J’interviens longuement dans la télévision, dans les médias… ».

Au regard de cette contradiction flagrante, on ne peut que se demander, quel est ce porte parole, quel est ce type d’individu qui interviendrait régulièrement dans les médias qui ne saurait point faire un droit de réponse s’il se sent diffamé par un journal? Vous comprenez tout de suite qu’on est face à un menteur qui est en pleine séance d’intoxication.

Ensuite, à « 12 minutes 01 seconde » de la grossière vidéo enregistrée, Bibang le menteur déclarait : « la traduction qui a été faite là-dessus (bande sonore sus évoquée), c’est les mots que monsieur Jean Christophe Owono Nguema a entretenu à mon égard lorsqu’il m’a demandé de recruter des jeunes afin que les jeunes descendent dans la rue pour brûler… Les hommes politiques qui en ont fait la traduction n’avait pas l’info juste ».

En écoutant ces propos, on constate que les commanditaires ont oublié de créer une véritable cohérence entre la bande sonore préfabriquée du 14 août 2012 et la vidéo totalement mensongère du 16 novembre 2012.

Sachant que le menteur Bibang avait donné toutes les infos à qui de droit (B2 et police judiciaire) et qu’à la suite de cette dénonciation il avait déposé une plainte contre « ONJC », qui avait alors mis cette affaire à dormir debout sur l’espace public en donnant de fausses informations ? En plus, dans cette grossière vidéo où seuls les menteurs peuvent y comprendre quelque chose, le menteur et gangster Bibang, à « 2 minutes 04 secondes » dit ensuite qu’il souhaite sortir de l’anonymat. De ce fait, qui alors était allé déposer la bande sonore auprès du B2 et de la police judiciaire ? Sauf à croire que l’individu menteur ne saurait pas le sens des mots anonymat et dénonciation.

Enfin, à partir « 1 minute 20 secondes » et dès la « 8ème minute et 37 secondes », Bibang le menteur, dans un esprit instrumentalisé, vient réciter tel un perroquet affamé et en manque de noix, toute la litanie d’arguments soutenus et utilisés par le pouvoir pour réfuter la tenue de la Conférence Nationale Souveraine. Ce qui prouve que, ces montages étant tellement gros pour ne pas dire grossiers, nul ne peut les prendre au sérieux ou en considération car ils sont vraiment dignes d’une inspiration de cerveau bourré d’aguidi. Et il ne serait nullement étonnant que les faussaires reconnus internationalement, Bilié Bi Nzé, Liban Souleymane ou  Raphael Ntoutoume Nkoghe ne soient pas à l’origine de cet énième faux et usage de faux.

Chers lecteurs, nous vous avons présenté une partie de l’analyse des manipulations de certains tenants du pouvoir qui savent que s’ils continuent de refuser l’idée de la Conférence Nationale Souveraine, s’ils tentent de jouer la politique de la chaise vide comme l’ont fait les membres de l’opposition lors des élections législatives d’octobre 2011 au Gabon, ils se retrouveront inévitablement sur le carreau et n’offriront pas à la population un autre choix que la légitime violence soutenue par la communauté internationale.

C’est d’ailleurs l’occasion de dire à ces réfractaires que la communauté internationale qui suit de très près la question de la situation électrique et explosive du Gabon vient de reconnaître l’opposition syrienne comme elle avait reconnu le Conseil National de la Transition de Libye. Le Gabon n’échappera pas à cette nouvelle formule pacifique de mettre hors du pouvoir les responsables politiques qui perdent toute légitimité lorsque la majorité du peuple demande leur départ.

Par conséquent, que le pouvoir gabonais incarné par Maixent Accrombessi sache que s’il continue sur la voie de l’arrogance et du refus du dialogue national souverain qui est vivement souhaité par le plus grand nombre de citoyens gabonais, il sera très rapidement décrotté. La CNS n’a pas pour but de tuer les institutions mais de les rendre plus justes et plus républicaines à travers une révision complète de leur fonctionnement.  

Enfin, il ne sert à rien de mettre son génie dans la conception de faux documents mensongers qui alourdissent le dossier inquiétant de ce pouvoir, mais de préserver ce reste d’imagination pour contribuer aux séances et aux commissions de réflexion qui se feront durant la Conférence Nationale Souveraine. Que l’esprit de Francis Salla Ngoua Beaud sort de notre pays, nul ne se baignera deux fois avec l’eau du même fleuve.

Par Télesphore OBAME NGOMO

Voici les deux liens des fameuses vidéos mensongères du feuilleton "Mensonges sur Jean Christophes Owono Nguema"

1.  Conversation sonore avec Jean Christophe Owono Nguema: http://www.youtube.com/watch?v=LEYZHKEZ-0o

2. Bibang, ex pyromane de Jean christophe Owono Nguema balance et dénoncehttp://www.youtube.com/watch?v=TLHFqwvPI-Y&feature=share


1 commentaire:


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