Comme s'il manquait des Gabonais compétents, Ali Bongo Ondimba nous impose un somalien de 28 ans, sans niveau, sans expérience à la tête du pays.Et un congolais sans cheveux ose venir l'ouvrir quand nous défendons notre pays.Vous avez vu quel Gabonais avec ce prototype de faciès? Franchement...
En
cette fin d’année morose pour la majorité des Gabonais qui peine de plus en
plus à joindre les deux bouts du fait de la mystification permanente du pouvoir
en place, symbolisée par les effets d’annonces interminables, les diverses
mesures artificielles, l’incompétence, l’arrogance et la suffisance
injustifiables de la légion étrangère qui nous étouffe dans notre propre pays,
les indignés et Résistants Gabonais face aux insolents comportements
Pétainistes émergents et « accromblessants », constitués par près de
98% des Gabonais, tous bords politiques et toutes ethnies confondus, auraient
vivement souhaité rester concentrer sur les évènements qui encadrent
l’engouement de la Conférence Nationale Souveraine, mais hélas, il s’est imposé
la nécessité de se souvenir du proverbe disant : « Ce
n’est pas parce que tu combats un lion que tu ne peux régler le cas d’un
vulgaire minus moustique qui ose te déranger ». Et nous y sommes
avec le cas d’espèce de « Godjo le
petit garçon malheureux du PDG », vivien amos pea.
Si
nous nous sommes refusés volontairement la possibilité de revenir sur les
révélations non mystérieuses et, ô combien vraies et de notoriété publique,
faites par la bibliothèque humaine altogovéenne, Marcel Djabioth, sur les
origines de « Godjo le petit garçon malheureux du PDG », c’est tout
simplement parce que les « enfants de la maison » de feu Jean
Baptiste Pea ne se reconnaissent pas dans les comportements honteux et lâches
de leur frère du dehors qui n’arrive déjà même pas à assumer sa calvitie au
point de la cacher misérablement avec un vulgaire cirage noir.
De
ce fait, que penser ou que devrait-on attendre d’un tel individu, adepte du
mensonge, de la manipulation et d’un opportunisme répugnant?
Lors
d’une émission radio, Bernard Kouchner déclarait qu’il ne croisait Robert
Bourgi qu’aux bas des passerelles des aéroports. Une bien triste manière de
présenter l’une des facettes humiliantes de ce dernier. En observant le
comportement de « Godjo le petit garçon malheureux du PDG », on
découvre une similitude frappante de ce trait de caractère avilissant.
En
effet, vivien amos péa adore squatter les halls d’entrées des hôtels où
sont logés certains tenants du pouvoir actuel lorsqu’ils sont de passage en
région parisienne. Et il ne dira pas le contraire car, cet abonné du piquet
volontaire qui semble se plaire à la fonction de la pléthore de vigiles à la
peau black en France avait été pris en flagrant délit de ce comportement déshumanisant
en allant pointer et se pointer, sans rendez vous, devant l’hôtel Georges V de Paris où
était logée une délégation venue du Gabon accompagnant le couple Ali et Sylvia
Bongo Ondimba.
Cependant,
à défaut de simplement condamner ce genre d’assujettissement que certains
individus s’offrent librement et toute honte bue, il convient d’aller chercher
dans l’histoire de « Godjo le petit garçon malheureux du
PDG » les raisons ou les origines de cette moralité méprisable et
hideuse.
Parmi
les nombreuses phrases célèbres d’Omar Bongo Ondimba, c’est celle affirmant que
« le
Gabon est une maison de verres » qui épousera notre volonté
d’expliciter le comportement misérabiliste de vivien amos pea qui a tenté
malhabilement de suivre les pas mortels de Frédéric Massavala Maboumba et de
Raphael Ntoutoume Nkoghe en voulant défendre ce que 98% des Gabonais
considèrent légitimement comme une haute trahison de la part d’Ali Bongo
Ondimba qui a livré les commandes de notre pays à une
bande d’étrangers étranges, arrogants, incompétents et impopulaires, comme on l'aurait fait pour une pute italienne.
A
cet effet, il est important de rappeler à vivien amos pea que les premières
victimes et les plus grands déçus du comportement ahurissant d’Ali Bongo
Ondimba sont justement toutes celles qui avaient tenté, finalement en vain, de
légitimer sa présence à la tête du Gabon après l’élection controversée
anticipée de 2009. De ce fait, nombreux sont ceux qui, de l’intérieur,
participent et s’activent pour que ce cauchemar ou cette erreur de casting à la
tête du PDG et au sommet de notre pays prenne fin le plus tôt possible. D’où
l’émergence d’une résistance interne silencieuse qui est de très loin plus
nocive que les actions et les révélations de l’opposition et de tous les
Résistants qui n’ont pas honte de dire « Gabon d’abord et le Gabon aux
Gabonais avant tout».
De
cette assertion, n’est-il pas idiot de penser que Maixent Accrombessi, Liban
Souleymane et toute la ribambelle d’étrangers étranges puissent aimer ou
développer le Gabon mieux que les Gabonais eux-mêmes ? Aussi, il est
inutile de vouloir réinventer la roue, un proverbe très ancien nous enseigne
« qu’on n’est mieux servi que par soi même ». Et ce n’est nullement
Maixent Accrombessi ou Liban Souleymane ou Lee White qui n’ont ni épouse
gabonaise, ni enfants gabonais, ni structures économiques au Gabon qui pourront
ressentir plus qu’une famille gabonaise ou un cadre gabonais la nécessité de
penser aux Gabonais, fut-il sur une échelle familiale, clanique ou ethnique. Que les choses soient claires.
Si
aujourd’hui la belle et douce France que de nombreux peuples du monde
apprécient peut vivre libre et en paix, c’est justement parce que la majorité
des femmes, des hommes, des jeunes voire même des enfants, se sont levés comme
un seul homme pour dire NON au régime de Vichy incarné par Pétain et un grand
nombre d’intellectuels qui étaient favorables à une domination étrangère.
Bien
heureusement, les témoignages et les récits historiques nous abreuvent à
satiété sur cette sombre page de l’histoire de la France qu’a été la « Collaboration ».
C’est dire que le proverbe disant, « ceux qui ne connaissent pas l’histoire
sont condamnés à la revivre » trouve grandement un écho auprès du
peuple Gabonais sous occupation béninoise et somalienne. Qui l’eût cru il y a
quatre ans, qu’Ali Bongo Ondimba aurait confié la gestion du Gabon aux désagréables soins d’un ancien démarcheur immobilier spécialisé dans le creusage de trou
pour y enfuir des gri gri et un ancien vendeur de pommes au marché Louis qui
n’a même pas fini sa deuxième année d’université en 2009? Par conséquent, la
collaboration n’émergera pas sous nos yeux.
Et
comme cette partie hideuse de l’histoire de la France nous la connaissons désormais et
nous maîtrisons ses conséquences mortelles pour l’avenir d’un peuple, d’une
nation et d’un pays, nous osons dire NON et STOP à cette injure faite à la
terre et au travail de nos ancêtres.
Qui
mieux que la France et les Français peuvent nous parler du siècle des
Lumières et de toutes ses théories humanistes? Qui mieux que la France et
son histoire peuvent nous enseigner sur les valeurs humaines et sur les
questions de démocratie ? Et pourtant, n’est ce pas cette même France qui
avait dit NON à l’invasion et l’occupation allemande, pourtant composée
d’individus pensants à la peau blanche? N’est ce pas cette même France qui
s’était investie dans une épuration légale et une épuration extrajudiciaire
afin d’effacer à jamais la mémoire de ces Français qui s’étaient investis dans le « collaborationnisme » définit le 4 novembre
1940 par Marcel Déat dans le journal « L’œuvre » comme étant le fait
de pratiquer la collaboration, mais également de l’encourager, de la promouvoir
et d’en faire un thème politique ?
Alors,
quand « Godjo le petit garçon malheureux du PDG », qui semble
s’être subitement découvert des liens de parentés avec les familles Dabany ou
Bongo Ondimba ou avec toutes les familles myènè de Port Gentil qui sont à
l’abri du besoin, semble oublier qu’il a un passé et un passif caractérisé par
une vie familiale qui continue de peiner à joindre les deux bouts, on est pris
entre le rire et les pleurs. Quand ce personnage oublie que les personnes qui l’ont porté hier, pour ne pas dire qui
lui ont permises de connaître enfin le goût du beurre en plaque et du jambon,
sont aujourd’hui victimes des comportements accromblessants et de l’arrogance
indescriptible de Liban Souleymane, on se dit « l’ingratitude a encore de beaux
jours devant elle ». De ce fait, que vivien amos pea ne s’étonne
guère que son passé lui soit froidement rappelé comme ce fut le cas de Raphael
Ntoutoume Nkoghe, auteur du livre « Lumière sur le Gabon » dont
nous n’avons livré que le 1/10ème du contenu où il insultait
copieusement la famille Bongo, le PDG et le régime en place qu’il sert
aujourd’hui avec un zèle dépassant celui qu’aurait pu avoir légitimement les
PDGistes de la première heure.
Autrement
dit, « Godjo le petit garçon malheureux du PDG », qui lors du
« Forum de Reims » suivait Mike Jocktane, jadis directeur
adjoint du cabinet d’Omar Bongo Ondimba,
comme un petit « toutou » pour 100, 200 voire 300 euros, a
choisi le camp de ses frères étrangers étranges en faisant primer ses origines
congolaises malgré l’hospitalité que le Gabon lui a accordé au détriment d’un
de ses propres enfants. Aussi, nous publierons au moment opportun comme nous le
fîmes pour Massavala Maboumba et Raphael Ntoutoume Nkoghe un certain nombre
d’éléments écrits accablants et pathétiques, notamment ses nombreux
pleurnichements dans lesquels il implorait la pitié, soit pour une bourse
d’étude ou soit pour une faveur diverse et variée.
A
cette étape du combat contre la légion étrangère et tous les
« collabo », ce sera le prix à payer. Quand on continue de soutenir
Ali Bongo Ondimba qui piétine la dignité de notre pays et de ses populations,
quand on choisit de se soumettre au diktat du premier et certainement le
dernier béninois de Bongoville, quand on vient défendre un somalien de
Mogadiscio qui se dit de Ndjolé et qui n’a même pas fini sa deuxième année
d’université en 2009, quand on décide de cracher dans la main de ceux qui vous
ont nourri, de tourner le dos aux noms Okias, Mboumba, Obiang, Massala,
Anguilet, etc… on s’expose à en porter la lourde responsabilité et la sentence
qui va avec.
Pétain,
soutenu par une pléthore d’opportunistes français et étrangers sans foi ni loi,
et appuyé par le tout puissant régime de Berlin, n’a malheureusement pas fait
long feu. Ce régime humiliant et honteux qui disposait de tous les leviers de
l’Etat pourtant, ne s’est imposé que 4 ans, du 11 juillet 1940 au 20 août 1944.
C’est dire que le régime d’Ali Bongo Ondimba qui est de plus en plus contesté
pourrait subir le même sort car il est clairement dit que « les
mêmes causes produisent toujours les mêmes effets ». Quand ceux
qui vous ont porté vous mettent désormais à découvert, il faut comprendre que
la fin n’est plus très loin.
En
plus, dans un cadre purement mystique et dans le contexte explosif actuel de
notre pays, le fait d’avoir accepté de recevoir sur le sol gabonais, François
Bozizé, un personnage désormais aux abois, ainsi que les rebelles
centrafricains, Ali Bongo Ondimba, vient publiquement de se condamner et
d’ouvrir une « porte » à cet état d’esprit dans l’esprit de tous les Indignés
et les Résistants Gabonais. Et le couronnement de ce piège spirituel émergera
avec le dépôt de cette semence rebelle lors du passage de ces derniers sur
notre territoire national. Cette réalité mystique mettra fin à un règne amer qui est sans doute le prix à payer lorsqu’on navigue d’impostures en impostures et
lorsque dans sa gestion des affaires on refuse de donner un sens à la formule hermétique « VITRIOL »
(Visita interiora terrae, rectificandoque invenies occultum lapidem).
Enfin,
ce qui est encore plus pathétique dans cette tentative de défendre
l’indéfendable est que, en plus de votre incrédulité dans cette basse besogne,
les différentes personnes que vous pensez défendre ne vous prennent pas au
sérieux car elles sont très conscientes de tout le tort qu’elles posent
volontairement à notre pays et à ses populations et que votre prétendu soutien
n’est lié à aucune sincérité mais juste téléguidée par un opportunisme
dégoûtant qui les répugne.
Si
« Godjo le petit garçon malheureux du PDG » savait ce
qu’Hitler pensait de Pétain, il aurait bien pu s’épargner la peine de pondre
son torchon indigeste et d’entrer dans la liste des individus qui auront des
comptes à rendre à la dignité du peuple Gabonais très bientôt.
Quand
on se dit « Jeune Garde » on doit savoir qui on garde, et dans quelle
fin. Car ce n’est ni un honneur et encore moins une partie de plaisir que de garder des corrompus et des
voleurs qui sauront vous jeter en pâture au moment opportun. Que pensez-vous de
la fortune mal acquise par Ali Bongo Ondimba en trois ans
seulement révélée par le service « Finance » de la société
Yahoo? Qu’a-t-on jadis reproché à André Mba Obame, à Myboto et à tous ceux qui
cautionnaient les actes contestables et contestés d’Omar Bongo Ondimba ?
De
nombreux Gabonais ont été moult fois attaqués, insultés, violentés, où était
cette « fameuse jeune garde bavarde et ringarde», elle qui ne s’intéresse pas aux individus
politiques?
Quelque
soit les erreurs ou les fautes commises par Patrice Otha, André Mba Obame, Jean
Pierre Oyiba, René Ndemezo’Obiang, Angélique Ngoma, Marc Ona Essangui, Idriss
Ngari, François Engongah Owono, Zacharie Myboto ou Jean Eyeghe Ndong, etc, je
ne pourrais JAMAIS les condamner pour préférer les tares de gestion orchestrée
par Maixent Accrombessi, Liban Souleymane, Lee White, Gagan
Gupta, Mactar Sylla, etc. Mes compatriotes resteront mes compatriotes tant
qu’ils ne briseront pas la chaîne patriotique qui nous lit en allant s’associer à l’ennemi.
Un
père ou une mère acceptera toujours de tolérer les erreurs ou les fautes de ses
enfants mais pas celle du voisin, fut il un bon ami de la famille ou un parent
par alliance.
De
cette conception des choses sans ambiguïté, que « Godjo le petit garçon malheureux
du PDG » qui par lâcheté s’est refusé de citer dans son plaidoyer
en faveur de Liban Souleymane, l’unique somalien de Ndjolé, le nom Télesphore
OBAME NGOMO, fier de défendre l’unique pays que nous Gabonais avons au monde,
s’attende à une pluie de révélations du même gabarit que celles qui avaient été
faites sur Raphael Ntoutoume Nkoghe qui s’était amusé à entrer dans une spirale
qui l’a définitivement discrédité aux yeux de ses « maîtres »
étrangers.
L’argent
n’a jamais acheté l’amour ou le respect.
Par conséquent, tous les milliards volés par Maixent Accrombessi et tous ses
soutiens ne leurs vaudront jamais notre allégeance. Qu’en déplaisent aux
collabos et à « Godjo le petit garçon malheureux du PDG »
qui ont choisi de miser sur le court terme.
La
vérité sur la situation déshumanisante et explosive des Gabonais, les PDGistes
corrompus et les suppos d’Accrombessi ne peuvent plus la nier ou la cacher. La
Conférence Nationale Souveraine sera d’ailleurs une belle forme d’épuration de
votre existence aux commandes de l’Etat tant souhaitée par la majorité du
peuple Gabonais.
Qui vivra verra…
Par
Télesphore OBAME NGOMO
Liens utiles
1. Quand la "jeune garde" ringarde et bavarde continue d'aboyer: http://ujpdg-france.vefblog.net/730.html#La_Jeune_Garde_Riposte_a_la_Cabale_menee_contre_le
2. La fortune insolente et mal acquise par Ali Bongo Ondimba en 3 ans seulement: http://in.finance.yahoo.com/photos/8-of-the-richest-dictators-in-history-slideshow/ali-bongo-ondimba-photo-1348740985.html
3. Quand "Godjo le petit garçon malheureux du PDG" défendait sa situation familiale de jadis qui n'a pourtant pas changé: http://membres.multimania.fr/mdlpgabon/tradition.htm
4. Histoire de Pétain et la collaboration: http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_P%C3%A9tain