lundi 17 septembre 2012

Pourquoi Raphael NTOUTOUME NKOGHE panique t-il?

Zacharie MYBOTO aime prononcer un proverbe qui est très instructif: Il n'y a de vérités que le temps ne révèle.

Chers lecteurs, le texte que je soumets à votre lecture est certes long, mais il mérite d'être lu entièrement pour démasquer l'imposture de Raphael NTOUTOUME NKOGHE qui gère les journaux: "La Griffe de Cotonou", "le Douk-Douk mal aiguisé" et "le Gri-Gri venu de Cotonou" qui vient d'ailleurs d'être suspendu par le CNC suite à sa collection de mensonges. Je vous invite vivement à lire cet article qui a fait sortir Raphael NTOUTOUME NKOGHE de ses gongs et qui le fait sérieusement paniquer. Et c'est pourquoi je vous invite aussi à lire sa réplique que je mets en lien.




Dossier Spécial : Lumière sur Raphael NTOUTOUME NKOGHE (RNN) épisode 2

En parcourant minutieusement le livre « Lumière sur le Gabon » de Raphael NTOUTOUME NKOGHE, hier, conseiller d’Omar BONGO ONDIMBA, et aujourd’hui, conseiller de son fils, Ali BONGO ONDIMBA, je ne pouvais que me poser une seule et simple question : « Omar BONGO ONDIMBA et dans une moindre mesure son fils Ali BONGO ONDIMBA sont ils des hommes normaux ? ».

Cette question vaut tout son pesant d’or car, comment comprendre qu’avec autant d’affirmations gravissimes dites sans la moindre preuve contre sa personne, toute sa famille, toute son existence politique finalement, Omar BONGO ONDIMBA ait pu accepter en 2007 de faire de Raphael NTOUTOUME NKOGHE son conseiller ?

On comprend à cet effet qu’Omar BONGO ONDIMBA avait certainement tous les défauts du monde excepté celui du mensonge car, en août 2005, lors d’une interview accordée à la chaîne « Africa 24 » il déclarait : « Mon pardon est ma meilleure vengeance… », ce qui est totalement vrai au regard de la virulence du livre de celui qui devint son conseiller.

Puis, comment Ali BONGO ONDIMBA, qui a largement montré qu’il n’a pas le même attachement au pardon que son prédécesseur et père, Omar BONGO ONDIMBA, n’ait pas tout simplement décidé de mettre Raphael NTOUTOUME NKOGHE hors du palais présidentiel  d’autant plus que ce dernier ne l’aide en rien en termes de communication sinon à construire et à renforcer la haine du peuple Gabonais envers sa personne? La sortie prochaine d’un journal de la présidence de la République qui reste une ineptie de plus en fait foi. Dans quel pays sérieux au monde a-t-on vu cela ?

On peut effectivement se dire que, si Omar BONGO ONDIMBA le concerné n’avait pas tenu rigueur à Raphael NTOUTOUME NKOGHE, pourquoi Ali BONGO ONDIMBA devrait-il le faire ?

La réponse est aussi simple que la question : en écrivant son livre « Lumière sur le Gabon » dans lequel Raphael NTOUTOUME NKOGHE insulte et humilie Omar BONGO ONDIMBA et tous les siens, famille, amis et collaborateurs, il fait le diagnostic sinon l’autopsie d’un régime qu’il qualifie de satanique. Tout compte fait, bien que ce régime n’ait pas changé d’un iota, et c’est ce qu’Omar BONGO ONDIMBA affirme dans son discours du 6 Janvier 2009, voici que ce pseudo journaliste le sert désormais avec un zèle sans précédent.

Au regard de cette conclusion précitée, que peut donc bien apporter un tel personnage à Ali BONGO ONDIMBA ? En plus RNN vient d’être complice d’un faux en usage de faux dans la fameuse invitation du PS aux cadres du PDG. Nous y reviendrons prochainement. Mais tout de même, nous souhaitons savoir si le chef de l’Etat va laisser cet acte grave sans suite car c’est désormais toute sa crédibilité qui se joue face au nouveau pouvoir français ainsi qu’au niveau international. Qu’est ce qui a bien pu piquer ces faussaires à agir ainsi ? L’excès de zèle, l’incapacité d’économiser le mensonge, la recherche effrénée des frais de mission… ? Tout compte fait, ces hommes viennent de ridiculiser le chef de l’Etat et le Gabon… voici de vrais professionnels du ridicule. Soit…

Au-delà de ce qui vient d’être dit, nous pouvons déjà prédire qu’une fois le changement se sera imposé par la force populaire, ce même Raphael NTOUTOUME NKOGHE, toute honte ingurgitée sans modération, viendra nous dire qu’il a pratiqué « l’entrisme dans le système BONGO » parce qu’il lui était impossible de détruire ce système de l’extérieur. Une réponse extrêmement légère qui ne pourra convaincre que des opportunistes sans foi ni loi mais aussi ceux qui ont cru une seule seconde qu’on pouvait développer le Gabon sans les Gabonais, mais avec des gens douteux comme Maixent ACCROMBESSI et Liban SULEIMAN.

En plus, nous voyons bien que ceux qui démontent aujourd’hui le système jadis critiqué et vilipendé par Raphael NTOUTOUME NKOGHE sont bel et bien hors de lui.

Au-delà du pardon véritable d’Omar BONGO ONDIMBA offert à ses adversaires voire à ses ennemis, il réside quand même l’insaisissable penchant d’Ali BONGO ONDIMBA de toujours s’entourer de gens qui ne peuvent rien lui apporter malgré le diagnostic clair établi dans le préambule du projet de société « L’Avenir en confiance », quand bien même ces individus identifiés remettent toute son existence en cause.

« Les paroles s’envolent mais les écrits restent » comme l’affirme un proverbe français.

En parcourant attentivement le livre « Lumière sur le Gabon » au chapitre « Etat des lieux » intégrant le sous titre « Culturel » où le « Ndjobi » est étrangement mis en lumière, Raphael NTOUTOUME NKOGHE, le conseiller d’Ali BONGO ONDIMBA, affirme clairement ceci : «Lorsque les services de renseignement français sortent BONGO du Congo-Brazzaville pour l’envoyer en mission d’espionnage auprès des hommes politiques Gabonais, il faut bien lui fabriquer des origines gabonaises afin de faciliter son insertion. Il est ainsi parachuté dans la seule province où l’on retrouve son ethnie (Téké) : le Haut-Ogooué. Chef de l’Etat devenu, l’une des priorités de BONGO va donc d’être de vouloir s’imposer dans sa province. Il trouve très rapidement dans le Ndjobi un allié de taille ».  

Après une telle déclaration, jamais démentie par Raphael NTOUTOUME NKOGHE, comment Ali BONGO ONDIMBA peut-il encore garder à ses côtés ce genre de personnes quand on sait que le 26 avril 2009, lors d’une conférence de presse, le dernier ministre de la défense nationale sous Omar BONGO ONDIMBA évoquant son histoire disait ceci : « Moi je n’ai rien à prouver. Je sais qui je suis, je dis simplement qu’à ce niveau, la situation est quand même triste. L’insulte n’est pas faite à moi, elle est faite à mes parents car c’est grâce à eux que je suis aujourd’hui, là où je suis… ».

Raphael NTOUTOUME NKOGHE est-il désormais bien placé pour  insulter Luc BENGONE NSI qui a au moins eu le courage de porter sur la place publique ses affirmations quand lui pour cacher toutes ses casseroles malheureusement trop bruyantes est obligé de faire, en vain, encore plus de bruits?

Ali BONGO ONDIMBA peut-il continuer de soutenir l’hypocrisie de son conseiller qui pense tout le bien de ses origines et celles de ses parents ? Si Omar BONGO ONDIMBA était critiqué pour sa trop grande tolérance se confondant à un laxisme indescriptible qui l’a conduit à se perte, lui son fils, va-t-il poursuivre cette tare de gestion de son prédécesseur sans courir le risque de souffrir du même bilan ?

Etant donné que le ton a été donné par les médias du pouvoir qui est celui de démasquer les ennemis du pouvoir et du peuple, il convient de mettre très rapidement sur la place publique le profil de Raphael NTOUTOUME NKOGHE car, étant conseiller au cabinet présidentiel, il représente de facto une menace plus dangereuse que ceux qui sont hors du pouvoir et qui sont considérés comme les ennemis d’Ali BONGO ONDIMBA.

Aussi nous vous livrons à nouveau et FIDELEMENT un extrait du livre « Lumière sur le Gabon » de Raphael NTOUTOUME NKOGHE alias Sabrina COURTOIS. D’ailleurs c’est également l’occasion de vous révéler le choix de ce nom d’emprunt utilisé par le conseiller du Président de la République qui passe son temps à insulter les dignitaires de ce pays dans la « Griffe de Cotonou ».

En 1994, la France envoie au Gabon son nouvel ambassadeur qui se nomme Jean Pierre COURTOIS. Selon certaines indiscrétions, ce dernier était reconnu pour ses penchants homosexuels et pour toute l’affection qu’il portait sur les jeunes « blacks » de même nature.

Souvenez-vous, dans notre parution de la semaine dernière (Mbandja n°142), notre rédaction vous a livré la préface du livre « Lumière sur le Gabon » écrit par Raphael NTOUTOUME NKOGHE alias Sabrina COURTOIS et qui aurait été préfacé par un ancien diplomate aux « penchants homosexuels » au Gabon. Pour une fois, n’hésitez pas à prendre le raccourci et faites le rapprochement avec les penchants sexuels de Raphael NTOUTOUME NKOGHE qui avaient déjà été  révélés au grand public par les propos d’un ancien ministre de l’intérieur en février 2011 dans un article intitulé : « Philippiques aux dégénérés émergents ».
Voici un extrait de cet article de cet ancien ministre de l’intérieur: « Malheureusement pour notre pays et pour la démocratie, les pédégistes-émergents-soutiens du pouvoir illégitime n’ont pas changé. D’ailleurs, le peuvent-ils ? A la lecture de leur « production intellectuelle », on s’aperçoit que pour eux, le débat argument contre argument est quasi impossible.
Nos adversaires préfèrent toujours des raccourcis tortueux et nauséabonds en guise d’argumentaire. Au débat d’idées, ils opposent systématiquement des histoires d’alcôve sorties de leur imagination. Pas étonnant, c’est leur sempiternelle marque de fabrique.
On comprend dès lors qu’ils soient allés chercher un spécialiste en la matière, un dangereux mythomane,  escroc pathologique devant Allah, et qui se sert  des journaux où il sévit pour déverser sa frustration et se livrer à son jeu favori, le chantage, la méchanceté gratuite et le lynchage.  
Sur la Toile, croyant rester anonyme, il charrie des tombereaux de mensonges et d’insanités. Ceux qui espéraient que son « exil » au Cameroun le guérirait de ses vieux démons ont déchanté rapidement. 
A l’évidence, son cerveau torturé est sorti de là encore plus malade. Alors, que les pédégistes-émergents-soutiens du pouvoir illégitime sachent que ce qu’ils considèrent comme un trait de génie à la lecture de ces élucubrations, n’est en réalité qu’une souffrance sentimentale refoulée et parfois mal exprimée. Et comme ils veulent d’un débat en dessous de la ceinture, nous allons leur servir de challenger. Et à chaque attaque, ils nous trouveront !
Dans leur folie, ils ont certainement oublié que celui qu’ils espèrent livrer en victime expiatoire au public pour détourner les Gabonais des turpitudes d’ « Alibendégage ! » et de sa cohorte de mercenaires étrangers, a été ministre de l’Intérieur, et que sur chacun, il en sait des choses…
Nous savons tous que le nouveau scribe pédégistes-émergents-soutiens du pouvoir illégitime ne s’est jamais remis de la mort de son tendre chaud gars, un célèbre avocat blanc, dont il fut,  il faut le reconnaître, l’une des « friandises »  préférées. Leurs tendres parties fines étaient de notoriété publique. Qu’il soit donc devenu un distributeur de haine et de mensonges s’explique car c’est bien connu, chagrin d’amour…
Croyant abuser son monde en allant se jeter dans les bras d’une veuve à qui il fait vivre un véritable martyr, ce nouveau riche multiplie les frasques et reste inconsolable. Quand « ça veut pas, ça veut pas ». Pédé tu es, tapette tu demeureras et crèveras certainement, on ne change pas un pédé en folie qui avance ! ».
Raphael NTOUTOUME NKOGHE qui adore les débats en dessous de la ceinture au détriment du débat d’idées oublie assez souvent qu’il n’a pas le monopole de la plume assassine et déstabilisatrice, lui pourtant dont la double vie privée n’est plus un secret malgré une relation hétérosexuelle parfaitement rafistolée. Il semble également oublier les méthodes d’Omar BONGO ONDIMBA qui étaient de « nourrir » aussi bien la Droite que la Gauche. Et enfin il a perdu de vue la déclaration de son ancien patron qui disait que le Gabon était une maison de verre. Comprendrons ceux qui ont vraiment travaillé à ses côtés.

Comme vous avez pu le constater dans la préface publiée la semaine dernière, Raphael NTOUTOUME NKOGHE fait dire ceci au fameux diplomate qui aurait préfacé son livre : « Le restaurant de l’hôtel Ré-Ndama est le lieu de notre première rencontre A peine a-t-il fini son verre et échangé quelques banalités avec moi qu’il me fixe droit dans les yeux et me confie ceci : «J’ai beaucoup d’amis Blancs ici et dans vos pays. Je n’ai pas besoin de dix minutes pour savoir quand est-ce qu’un Blanc est sincère et sérieux. Ce n’est pas pour vous faire plaisir car ce n’est pas mon genre, mais je sais que vous êtes déjà un ami.

Et pour vous le prouver je vais vous confier un secret que je n’ai révélé à personne d’autre. Je suis en train d’écrire deux livres. Le premier concerne le Gabon et le second Omar Bongo, quoique le sujet du second soit aussi la vedette du premier. J’ai commencé le premier pendant mon exil…

Avant de se séparer, on s’accorde pour se retrouver, à l’occasion de mes prochaines vacances, à Paris afin de travailler en toute sérénité et discrétion. De septembre 2000 à février 2001, nous n’avons plus eu l’occasion de nous revoir. En dehors des coups de fil quotidiens. Ce n’était point là un handicap particulier puisque notre préoccupation se situait plutôt ailleurs.

A savoir si en mars 2001, date de mon passage à Paris, RNN disposera d’un peu de temps pour prendre congé d’une rédaction qu’il dirigeait quasiment seul, son directeur de publication continuant à vivre en France…

Trois jours après avoir arrêté l’éventualité du report, il me téléphonait pour m’annoncer une nouvelle qui l’enchantait apparemment : «Tu ne peux pas t’imaginer que grâce à Bongo, notre projet va pouvoir se poursuivre. Dis-toi que je serai à Paris en mars 2001

Dans le bar du huitième étage de l’hôtel Okoumé Palace, il me fait comprendre que Bongo vient d’ordonner au Conseil national de la Communication (CNC) de procéder rapidement à la fermeture de «La Griffe» et à l’interdiction à vie aux directeurs de la publication et de la rédaction d’exercer le métier de journaliste au Gabon».

Chers lecteurs, en lisant posément ce passage de la préface du livre de Raphael NTOUTOUME NKOGHE, en quoi ce dialogue avec le fameux ambassadeur homosexuel se différencie t- il d’un dialogue entre deux personnes réellement amoureuses et qui ont besoin de discrétion et de sérénité pour profiter dans une ville libre, Paris, de leur tendre et belle relation ? Pour vous en assurer, relisez ce passage en tentant d’imaginer la scène.

D’ailleurs on voit bien que le choix des lieux de rencontre n’est pas fait au hasard. Pour ceux qui ne le savent peut être pas, le restaurant de l’hôtel Ré-Ndama et le huitième étage de l’hôtel Okoumé Palace sont reconnus comme étant l’espace idéal de rencontres des homosexuels aisés du Gabon. Bref…

Quel est cet individu sensé, qui en plus rentre à peine d’un exil, aurait pu se permettre de  livrer des secrets à un diplomate, de surcroît français, au moment où Omar BONGO ONDIMBA continue de gérer la crise de 1993 et commence à remonter en puissance?

Tout cela n’est que de l’habillage ou du baratin. Raphael NTOUTOUME NKOGHE croit tromper le monde. Or, l’inspiration de son livre dans lequel il dénonce et condamne la « succession monarchique » du pouvoir d’Omar BONGO ONDIMBA n’est juste que l’histoire entre deux hommes amoureux dont la rupture n’a jamais été digérée.

Autrement dit, la diatribe plus que haineuse de ce livre « Lumière sur le Gabon » contre la personne d’Omar BONGO ONDIMBA est alimentée par le fait que Sabrina COURTOIS n’a jamais accepté le départ du Gabon de ce fameux diplomate qui s’occupait de tous ses besoins. Et ce n’est que pour cette raison qu’elle en a tellement voulu au défunt président de la République. Car, même les plus farouches opposants d’Omar BONGO ONDIMBA ou les plus virulents combattants du régime tel que Daniel MENGARA passent pour des enfants de chœur au regard des propos tenus par Raphael NTOUTOUME NKOGHE dans son livre. On ne peut être aussi méchant avec une personne que si et seulement si elle nous a privé de l’affection d’un être cher. Et cela semble bien être le cas.

Vous aurez compris comme il est dit dans la préface : « De septembre 2000 à février 2001, nous n’avons plus eu l’occasion de nous revoir. En dehors des coups de fil quotidiens. Ce n’était point là un handicap particulier puisque notre préoccupation se situait plutôt ailleurs ». Effectivement les préoccupations de Raphael NTOUTOUME NKOGHE et de son amant diplomate étaient véritablement ailleurs.

Vous aurez également compris que les dates comme le nom du fameux diplomate avaient été modifiés pour brouiller les rapprochements et les pistes. Mais comme l’assassin revient toujours sur le lieu du crime, c’est dans la conclusion de la première partie de son livre que Raphael NTOUTOUME NKOGHE vient rendre hommage à l’homme que seul l’argent du palais présidentiel a aidé à oublier. Chers lecteurs, vous saurez reconnaître le nom du fameux diplomate français dont le nom « COURTOIS » est courtoisement utilisé dans « la Griffe de Cotonou ».

Raphael NTOUTOUME NKOGHE dit ceci dans la conclusion de la première partie du livre: «Il faut comprendre que l’omniprésence de Bongo dans toutes ces chapelles obéit à une logique quasi paranoïaque de l’homme. Celle de vouloir tout savoir sur tout le monde, de lire dans la pensée de chaque Gabonais, de savoir ce que chacun de tous ces collaborateurs directs et indirects pense de lui et des autres collaborateurs, savoir naturellement qui sont ses ennemis, que font-ils et que disent ou pensent-ils de lui.

C’est ainsi que Bongo est arrivé à se convaincre que c’est par le Bwiti, la Franc-Maçonnerie et le Ndjobi qu’il contrôlerait les actes et la vie de ses collaborateurs. Aussi, pour lui, le bon collaborateur est celui qui appartient à l’une de ces trois cellules. Le parfait étant celui qui milite en même temps dans les trois…

Ce vaste réseau de renseignement ne s’arrête pas qu’à ces cellules. Tous les points sensibles de la République sont sous son contrôle direct. Notamment bars, salons de thé, restaurants, hôtels, motels, boîtes de nuit, aéroports, hôpitaux, cliniques, salons de coiffure, services de réservations des compagnies aériennes, ports et grands bistrots. Dans tous ces endroits, Bongo est en relation directe avec une personne avec laquelle il entretient une liaison particulière, secrète ou intime…

Il va même, pour ces mêmes raisons de renseignement, jusqu’à maintenir certaines de ces structures sous perfusion financière. Surtout les plus productives en information. L’on a même observé que depuis 1990, Bongo est allé jusqu’à contrôler, soit par l’oreiller, soit par la générosité, les plénipotentiaires des deux principales représentations diplomatiques accréditées au Gabon : les USA et la France.

Côté américain, l’observateur averti pourra aisément relever que deux ont véritablement échappé à son contrôle : Wachauppe et Wilson IV. Même chose du côté français où Courtois et Selz sont les seuls à n’avoir pas fait parti de l’immense famille des grands Batékés des bords de la Seine ».

Après avoir lu cette conclusion que nous vous avons servie en partie, il ne nous parait plus nécessaire de rappeler également les penchants sexuels de Philippe SELZ qui étaient de notoriété publique comme ceux de Jean Pierre COURTOIS. De nombreux artistes gabonais aux tendances sexuelles très libres ont pu apprécier plus que ses qualités de diplomate.

En vous livrant toutes ces informations FIDELEMENT retranscrites, SOIGNEUSEMENT analysées et jusque là PRECIEUSEMENT gardées dans le culte du secret, nous avons non seulement voulu nous arrimer au mouvement lancé par les médias proche du pouvoir mais surtout rappeler au chef de l’Etat le « réel profil » de Raphael NTOUTOUME NKOGHE alias « la miss Esserenguila » du Palais présidentiel ou Sabrina COURTOIS du journal « La Griffe de Cotonou ».

Nul ici n’est mon but de vouloir critiquer l’homosexualité grandissant dans notre pays. D’ailleurs je fais partir de ceux qui, publiquement, milite pour que les gens comme Raphael NTOUTOUME NKOGHE ne soit plus obligé de se cacher mais qu’ils puissent vivre librement leurs réels penchants sexuels.

Dans plusieurs de mes publications, j’ai sans cesse rappelé à mes confrères journalistes de la presse collaborationniste aux ordres de Maixent ACCROMBESSI alias Raspoutine le pôpô et de Liban SULEIMAN encore appelé « La Touareg » que la déontologie du métier interdit aux journalistes de s’auto-flageller. Et dans le même temps je rappelais à Raphael NTOUTOUME NKOGHE, la miss Esserenguila du Palais Présidentiel, que la communication ce n’est ni l’injure, ni la diffamation et encore moins les grossiers mensonges qui détruisent la vie de paisibles citoyens.

Mais hélas, Raphael NTOUTOUME NKOGHE a jugé bon de continuer d’œuvrer dans la provocation, l’insulte et l’humiliation des anciens de ce pays après avoir copieusement insulté Omar BONGO ONDIMBA, sa famille, son clan et ses collaborateurs dans son livre « Lumière sur le Gabon » juste parce qu’il espérait cacher les innombrables cadavres qu’il comptabilise dans son placard en même temps qu’il en fait une partie de loisir pour amuser Maixent ACCROMBESSI et sa ribambelle d’étrangers étranges, arrogants, incompétents et impopulaires qui n’ont que du mépris pour sa petite personne.

Tout le monde ne s’appelle pas Omar BONGO ONDIMBA qui était certainement l’une des rares personnes sur cette terre pouvant faire de son bourreau un ami au point d’en faire un conseiller.

En tout cas, ce n’est pas dans notre pays et sous nos yeux que Sabrina COURTOIS va venir insulter nos pères et nos mères et ce, quelque soit leur passé. Qui avait dit que pour faire plaisir à ses responsables il fallait humilier, vilipender ou insulter autrui ? Quelle est cette école de communication qui enseignerait de telles théories? Au regard de tout le désordre que la miss Esserenguila du palais présidentiel fait, on comprend pourquoi Maixent ACCROMBESSI et Liban SULEIMAN ne respectaient personne dans ce pays. Tout cela à cause des gens comme Raphael NTOUTOUME NKOGHE qui sont sans valeur et sans moralité. Zut alors…

Si c’est cette communication que Raphael NTOUTOUME NKOGHE a eu à apprendre lors de son séjour en exil ou chez les charlatans quand il avait perdu la tête, nous lui rappelons que la presse camerounaise, nous la connaissons. Des communicateurs au Gabon qui ont connus quelques troubles psychologiques, nous en connaissons également. Donc qu’il arrête maintenant cette communication de caniveau qui ne sert à personne, même pas à lui-même.

Comment ce même Raphael NTOUTOUME NKOGHE qui encense Zacharie MYBOTO dans son livre parce qu’il avait dit NON au Parti Démocratique Gabonais et aux méthodes d’Omar BONGO ONDIMBA que lui-même avait décrié, c’est ce même Raphael qui aujourd’hui passe son temps à insulter ce monsieur à longueur de parution au lieu de faire la promotion des réalisations d’Ali BONGO ONDIMBA pour laquelle il est payé?

Dans notre prochaine publication, nous vous livrerons le point 2 du chapitre « Etat des lieux » du Livre « Lumière sur le Gabon » de Raphael NTOUTOUME NKOGHE intitulé « Résumé sur la conférence nationale » étant donné que ce point est réellement d’actualité.

Vous comparerez les sorties puantes de Sabrina COURTOIS de la « Griffe de Cotonou » et ses déclarations dans son livre où elle massacrait le nom d’Omar BONGO ONDIMBA en disant : « Quand Bongo bricole son accession à la magistrature suprême, il manque de poids et de personnalité, contrairement à son prédécesseur, tant il passe pour un petit imposteur de poche. Pire : sa culture livresque et intellectuelle se résume au terre-à-terre ».

Finalement, de René NDEMEZO’OBIANG et de Raphael NTOUTOUME NKOGHE alias « la miss Esserenguila » du palais présidentiel ou « Sabrina COURTOIS » qui a trois visages ?

Par Télesphore OBAME NGOMO






  




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