jeudi 2 août 2012

Que cherche Raphael Ntoutoume Nkoghe, l'un des sulfureux "sherpa de Maixent Accrombessi? (Suite et fin)

Que Raphael Ntoutoume Nkoghe, conseiller du président de la République et  principal rédacteur de la « Griffe de Cotonou », « du Douk Douk mal aiguisé » et  du « gri gri de la griffe de Cotonou », qui insulte les gabonais, qui humilie régulièrement les membres du gouvernement, qui méprise les cadres du parti au pouvoir, qui ne met jamais Raspoutine le pôpô et ses thuriféraires face à leurs responsabilités, qui expose régulièrement le tribalisme  sous le regard bienveillant du Conseil National de la Communication, sache que je ne me laisserai pas importuner par un imposteur du domaine de la communication.

Quand on n’est pas qualifié pour un domaine, on reste à sa place à défaut de se former. Tenir un journal, fut-il proche du pouvoir, ne donne pas le droit de ne pas respecter la déontologie journalistique qui est consultable dans le code de la communication de la République gabonaise et qui émane de l’Esprit de l’article 47 de la Constitution de notre pays.

Dans sa parution numéro 39 du mardi 03 juillet 2012, le « Gri gri de la griffe de Cotonou » me faisait l’honneur de rappeler aux gabonaises et aux gabonais que j’étais un citoyen et patriote qui a des connaissances étendues dans divers domaines, donc un savant. Ce qui ne s’inscrit ni dans une possibilité de doute et encore moins dans une quelconque négation car mes nombreuses qualifications et expériences acquises auprès d’établissements d’enseignements français en font foi.

Or à la fonction publique, où il jouit d’un statut de contractuel en solde global forfaitaire répondant au matricule 158208F, ce qui est totalement illégal au regard des articles 69, 70 et 101du code de la communication, on continue d’attendre « le vrai diplôme en communication » de Raphael Ntoutoume Nkoghe, l’ange perdu et complexé de Kango. On comprend mieux pourquoi lors du recensement des fonctionnaires, il fuyait sans cesse les agents du ministère de la fonction publique. 

D’ailleurs, ce point que nous soulevons publiquement devrait faire l’objet d’une enquête. Les nouveaux responsables du CNC ne peuvent s’exonérer d’un tel dossier. Il ne doit plus y avoir une justice à plusieurs vitesses dans notre pays comme le préconisait l’axe 9 de notre projet de société « l’Avenir en confiance ».

Cet homme au passé troublé affirmerait qu’il aurait soutenu une thèse de doctorat en communication. Alors, plagions l’attitude du Professeur Raphael Badenga Lendoye qui pour éteindre toutes formes de soupçons ou de doute sur sa nationalité avait choisi de brandir son acte de naissance. 

Par conséquent, que Raphael Ntoutoume Nkoghe nous publie très rapidement pour démentir nos affirmations : le sujet de sa thèse, le nom de l’établissent d’enseignement supérieur en France où il aurait passé cette thèse, le nom de son directeur de thèse, l’année de publication de sa thèse, et si possible, et si ce n’est pas trop lui demander, le diplôme qui a sanctionné ses travaux de recherches comme moi je publie dans votre journal mes différentes qualifications qui cadrent avec la définition du mot « savant ».

Il est important de rappeler que l’on n’a pas besoin de diplômes pour insulter, humilier ou caricaturer, cet ignoble travail ou cette basse besogne que fait continuellement le conseiller du président de la République dans toutes ses parutions.

Est-ce vraiment respectueux lorsqu’on souhaite réellement aider le président de la République de se lancer dans une telle communication de caniveau? Hier c'était Maixent Accrombessi, Basile Mvé Engone, Béchir Ben Yamed, Zacharie Myboto, Marc Ona Essangui, André Mba Obame, Chantal  qu'il insultait, aujourd'hui c'est Pascal CANFIN... Est-il prêt à arrêter l'ouragan qu'il soulève continuellement?

A cet effet, il serait important que l’article 12 du code de la communication soit modifié car la définition élargie qu’il fait d’un journaliste ne peut qu’entraîner des dérives que nous connaissons dans la profession. Nul ne peut décider d’effectuer des opérations chirurgicales tout simplement parce qu’il aurait assisté plusieurs fois des chirurgiens durant leur travail. L’image semble être caricaturale mais elle mérite la chandelle. Ou, devrait on donner des permis de conduire à des gens qui ne l’ont pas obtenu tout simplement parce qu’ils conduisent frauduleusement depuis de nombreuses années ?
 
Peut-on imaginer un seul instant les services de communication de l’Elysée caricaturer, humilier ou insulter les membres du gouvernement sans raisons? Après on s’étonne qu’André Mba Obame soit aussi fort bien que n’étant pas au pays.

Lorsque ce type de communication sévit, il faut dire qu’elle n’est que l’expression d’un réel malaise.

En effet, c’est ce malaise que nous notions à juste titre lorsque nous dénoncions les actes de Paul Biyoghe Mba, les fameux retards utiles, qui n’entraient nullement dans la vision du projet de société « l’Avenir en confiance » que nous avons soutenu en 2009. Une fois le personnage n’étant plus au poste de premier ministre, donc  n’étant plus en capacité de nuire, nous n’avions pas jugé utile de continuer à communiquer sur ses manœuvres dangereuses. Ce qui prouve que nous n’étions nullement dans un combat de personne ou dans un acharnement inutile en vue de nuire. Or, ce n’est pas le cas pour la presse collaborationniste aux ordres d’un ancien petit démarcheur immobilier de Paris et d’un ancien vendeur de pommes au marché Louis.

A beau chasser le naturel, il revient au galop. Cette manière de faire prouve à suffisance que Raphael Ntoutoume Nkoghe, l’ange complexé et perdu de Kango n’a jamais eu de diplôme en communication car il viole les bases même de la déontologie du journalisme qu’il peut toujours consulter dans le code de la communication en République gabonaise au chapitre 3.

En plus, dans un établissement de Libreville, Raphael Ntoutoume Nkoghe, certainement sur la base de « son fameux doctorat en communication » s’était lancé dans l’enseignement supérieur. Les élèves de cet établissement s’en souviendront toute leur vie car ils n’avaient jamais vu autant de nullité concentrée sur un seul homme qui affirme détenir un doctorat en la matière.

Et comme pour reprendre l’image caricaturale, ô combien vraie, du professeur Pambou Tchivounda : « si un enfant de trois ans tente de porter un enfant de huit ans, il est certain que les deux vont s’écrouler ».

Autrement dit, si Raphael Ntoutoume Nkoghe qui a fait des études pour être instituteur dans un centre de formation de Sainte Marie décide de s’improviser dans l’enseignement supérieur, mais quelle formation, quelle plus value peut-il apporter à ces élèves en quête d’une vraie Education ou d’une bonne formation en communication?

Merci Albert Yangari pour l’avenir de notre profession. Pistonner un imposteur du domaine donne les conséquences que nous connaissons aujourd’hui.

Cette situation grave renvoie à la problématique du recrutement dans les établissements de l’enseignement au Gabon. Il n’est d’ailleurs pas étonnant que les résultats du baccalauréat soient aussi mauvais et que le niveau de l’enseignement au Gabon soit aussi décroissant.

Cependant, au-delà de tout ce qui a été dit, le fait principal qui a attiré notre attention dans la caricature de Raphael Ntoutoume Nkoghe aux ordres d’un ancien petit démarcheur immobilier de Paris et d’un ancien vendeur de pommes au marché Louis est qu’un homme de son âge, pourtant arriviste et opportuniste, soit si peu ambitieux. Car, se contenter tout simplement de la poussière des miettes que lui balancent Maixent Accrombessi, Raspoutine le pôpô, et Liban Soulemane, est vraiment pathétique.

Et pire, se croire incapable de remplacer Maixent Accrombessi qui n’est même pas une « lumière sombre » est vraiment la dernière chose qu’on n’aurait pu imaginer de l’ange complexé et perdu de Kango, pourtant toujours prêt à insulter et à humilier ses propres frères gabonais pour offrir à Raspoutine le pôpô un sourire aux lèvres.

Hélas, Télesphore OBAME NGOMO, au regard de mon modeste parcours et de mes nombreuses qualifications, je ne peux me considérer comme incapable d’occuper la place que Maixent Accrombessi usurpe depuis bientôt trois ans. C’est l’occasion de lui rappeler qu’il doit et va dégager quelque soit la manière et les conditions. Et nous de plagier Omar Bongo Ondimba et Mobutu Sese Seko en disant : « même s’il faut pactiser avec André Mba Obame pour aider Ali Bongo Ondimba…nous le ferons, Maixent Accrombessi doit dégager».

Notre pays doit maintenant  « réellement avancer ».

Au regard de cette description pitoyable du profil d’un conseiller du président de la République, on ne peut que se demander, qu’a appris Raphael Ntoutoume Nkoghe, tout le temps qu’il a passé aux côtés d’Omar Bongo Ondimba ? de Michel Ongoundou Lounda, cet homme valeureux, courageux et talentueux ? Qu’a-t-il retenu de son passage dans l’opposition quand il écrivit son livre « Lumière sur le Gabon » dont nous pourrons enfin vous offrir la teneur chaque semaine accompagnée d’analyses claires? Qu’a retenu Raphael Ntoutoume Nkoghe de ses innombrables misères quand il nageait dans un exil, finalement mérité pour la dignité et la fierté de notre pays, au Cameroun ?

Au regard de sa situation démentielle, on ne peut que se demander si c’est l’asile ou l’exil que cet homme mérite ? Car, avec un tel profil à la communication du président de la République, on est tenté de penser que l’on se trouve dans un autre pays (exil) ou dans un asile géant.

Omar Bongo Ondimba disait : « le Gabon est une maison de verres ». Et son épouse Joséphine Nkama Dabany de chanter « On vous connaît » et nous de rappeler à Raphael Ntoutoume Nkoghe « Attention, on se connaît très bien ». Inutile de se poser mille et une questions, c’est la méthode de communication d’Omar Bongo Ondimba qui s’applique. Que ceux qui ont des yeux voient, et des oreilles entendent…

Par conséquent, qui s’y frotte, s’y pique.

 Nous gardons le meilleur pour la fin car bien que nous ayons l’âge, il n’est pas encore midi.

Par Télesphore OBAME NGOMO


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