Front National Gabonais: Le énième mensonge de Raphael Ntoutoume Nkoghe alias Sabrina Courtois

Depuis que nous avons clairement présenté à l’opinion publique nationale et internationale qui était exactement Raphael Ntoutoume Nkoghe, conseiller d’Ali Bongo Ondimba et auteur du livre « Lumière sur le Gabon » qui insulte copieusement la famille Bongo, le parti démocratique gabonais (PDG) et le régime en place qu’il sert aujourd’hui avec un zèle que n’ont même pas les membres du PDG de la première heure, l’ex amant de Jean Pierre Courtois, ancien ambassadeur de France au Gabon, ne s’en remet pas.

Sous l’invite de très hautes personnalités de la République d’arrêter le massacre sur la petite personne de Sabrina Courtois et faisant nôtre la sage parole de Guy Nzouba Ndama qui disait à feu Pierre Mamboundou Mamboundou, lors d’une session parlementaire, durant laquelle ce dernier massacrait les inepties verbales de l’ancien premier ministre Jean François Ntoutoume Emane : « Cher collègue, dans nos traditions il est dit que, lorsqu’on a déjà mis son adversaire K.O, il sert plus à rien de lui mettre du piment dans les yeux », nous avons décidé de nous concentrer plus que jamais sur l’organisation de la tenue d’une conférence nationale souveraine dans notre pays. D’autant plus que la miss Esserenguila du Palais présidentiel rase désormais les murs car cette dernière est considérée comme une véritable opportuniste sans foi ni loi.

D’ailleurs, la petite miss du palais présidentiel, jadis nommée Raphael Ntoutoume Nkoghe, vient encore une fois de plus de prouver qu’elle n’est pas digne de confiance. Il y a quelques jours, elle s’est rendue discrètement chez le père de Michel Ongoundou Loundah pour lui dire que la présidence de la République préparerait un coup tordu contre ce dernier suite aux révélations faites dans le journal « Le Temps » mettant en cause, à tort ou à raison, l’épouse d’Ali Bongo Ondimba.

Faut-il encore rappeler ici que c’est ce même comportement qu’il avait toujours eu avant de commencer à lécher les restes des morceaux d’aguidi tombés sur les pieds de Maixent Accrombessi qu’il insultait quand il était proche de François Engongah Owono, ancien secrétaire général de la Présidence de la République?

A plusieurs reprises, quand je pensais encore qu’Ali Bongo Ondimba était capable de concrétiser les axes du projet de société pour lequel je m’étais investi en 2009, j’avais tiré la sonnette d’alarme sur ce profil douteux dont les actes passés et présents continuent de démontrer qu’il n’était pas une personne digne de confiance. Mais, comme le dit aisément Zacharie Myboto : « La vérité est fille du temps », et nous y sommes. Traître et mythomane tu es, traître et mythomane tu resteras.

Aussi, peinant à digérer le mal qui l’habite et ne sachant plus quoi inventer, pensant que tout le monde aime s’adonner au faux et usage de faux, comme l’est toute sa vie, Raphael Ntoutoume Nkoghe, le conseiller d’Ali Bongo Ondimba qui traite ce dernier de voleur et d’homme inconscient dans son livre « Lumière sur le Gabon », vient de publier dans le « Gri-Gri venu de Cotonou » du mardi 27 novembre 2012, une information selon laquelle j’aurais été chassé du Parti Socialiste.

Hélas, tout le monde ne s’invite pas frauduleusement au Parti Socialiste comme l’a fait la fameuse délégation de « l’aile socialiste » du PDG à l’université d’été du PS de la Rochelle. Un démenti du parti socialiste qui a complètement discrédité le pouvoir en place considéré comme génie dans la fabrication de faux documents. Quel dommage…

Cependant, sauf homonymie extrême, Sabrina Courtois se trompe de personnage. Télesphore OBAME NGOMO n’est pas une girouette mais un patriote de convictions et reste encore membre respecté et consulté de l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP) malgré la crise déplorable qui sévit.

L’entrisme au PS malgré notre échec à l’élection présidentielle de mai 2012 en France n’aura pas lieu comme l’a fait un certain Raphael Ntoutoume Nkoghe, qui hier insultait la famille Bongo avant de devenir conseiller d’Omar Bongo Ondimba puis d’Ali Bongo Ondimba, alors qu’il disait dans son livre : « Un an avant mon arrivée à Libreville, l’auteur, ainsi que me l’avaient informé mes collaborateurs à notre ambassade, avait été contraint à l’exil, hors du Gabon. Ce n’est donc que sa réputation de journaliste courageux jouissant d’une probité morale irréprochable que j’ai trouvée au Gabon. Des témoignages des collègues diplomates qui l’ont connu avant moi, j’ai surtout retenu qu’il s’agissait d’un journaliste déterminé, provocateur et qui a le don d’indisposer le régime. Pas seulement à cause de ses écrits, mais surtout parce qu’il n’a jamais voulu composer avec le pouvoir, repoussant toutes les offres qui lui ont été faites et éprouvant une souveraine indifférence à l’égard de l’argent du Palais (présidentiel) ».

Raphael Ntoutoume Nkoghe peut-il nous dire où est ce qu’il travaille aujourd’hui ? Et c’est à ce genre de personnage qu’Ali Bongo Ondimba fait parler de l’émergence du Gabon ? Soyons sérieux un temps soit peu.

Si Raphael Ntoutoume Nkoghe qui obéit comme un vulgaire petit toutou aux ordres du béninois Maixent Accrombessi, l’ancien démarcheur immobilier qui est venu au Gabon avec un simple jean bleu délavé et une chemise verte à longue manche et qui aujourd’hui, spolie nos finances et humilie nos compatriotes, ne sait plus comment justifier devant le peuple Gabonais ses nombreux mensonges sur la mort d’André Mba Obame qui est bel et bien vivant, qu’il sache que ce n’est certainement pas sur moi qu’il s’accrochera et encore moins sur des gens qui n’ont plus rien à voir avec l’émergence version Mogadiscio, la ville natale de Liban Souleymane, l’unique somalien de Ndjolé, devenu chef de cabinet d’Ali Bongo Ondimba alors qu’il n’a même pas été capable de finir sa deuxième année d’université en 2009.

Enfin, que Raphael Ntoutoume Nkoghe alias Sabrina Courtois, le nom de joie de ce conseiller d’Ali Bongo Ondimba quant il était en relation avec l’ancien ambassadeur français Jean Pierre Courtois et Pulchérie Beaumiel lorsqu’il était l’amant d’un avocat français durant son exil au Cameroun sache qu’on peut tout reprocher à André Mba Obame, sauf son ingénieuse capacité à s’entourer de personnes brillantes. Et c’est en cela qu’on reconnaît un vrai et bon chef.

Par Télesphore OBAME NGOMO

Sources concrètes:

1. Ma carte d'adhérent UMP: