lundi 23 juillet 2012

Quand la politique du « changement» de François Hollande frappe « maintenant » le Gabon (3ème Partie et fin)

Maixent Accrombessi et sa ribambelle d'étrangers étranges, arrogants, incompétents et impopulaires doivent dégager... Le temps presse et ne nous attend pas...

De ce fait, Ali  Bongo Ondimba n’a plus d’autres marges de manœuvres que de prendre très rapidement des mesures urgentes que sont le départ sans conditions de tous les étrangers étranges, incompétents et arrogants qui squattent le sommet de l’Etat et continuent malgré la situation grave dans laquelle ils ont plongé notre majorité de mépriser quotidiennement les gabonaises et les gabonais. Le chef de l’Etat devra également mettre sous tutelle du premier ministre toutes les agences nationales actuellement rattachées à la présidence de la République qui en plus tuent un peu plus chaque jour notre administration publique en construction.

Puis, pour affronter l’opposition qui semble mieux armée, le président de la République devra très rapidement remanier l’actuel gouvernement en se choisissant un premier ministre dont la finesse politique a toujours été reconnue et appréciée au sein du PDG, le contexte politique actuel semble l’imposer. Aussi, en procédant à ce changement de premier ministre, il serait fondamental que l’article 15 de notre Constitution soit respecté en même temps que le nouveau chef du gouvernement pense à introduire de nombreux membres de la société civile crédible dans ce gouvernement qui symbolisera une  union républicaine et citoyenne.

Par ailleurs, le chef de l’Etat devra lancer officiellement les travaux de la mise en place de la biométrie en vue des prochaines échéances électorales dans notre pays en même temps qu’il invitera le nouveau gouvernement à étudier de manière responsable et républicaine la problématique de la réhabilitation de l’Union Nationale, parti dissout sous l’inspiration de Paul Biyoghe Mba qui gérait son agenda personnel en prenant cette décision puante.

Ensuite, Ali Bongo Ondimba devra tout faire pour ne surtout pas tomber dans le piège tendu par ses adversaires politiques.

En d’autres mots, nous attirons l’attention et la vigilance du président de la République de ne surtout pas déstabiliser ou opérer un quelconque changement dans les institutions comme la Cour Constitutionnelle et le Sénat, dans le contexte actuel car, André Mba Obame et les siens sont conscients que si des changements sont engagés dans ces deux institutions, le temps que les nouveaux membres choisis et nommés prennent leurs marques, il ne leurs restera plus qu’à organiser habilement et intelligemment des évènements déstabilisants pour inviter les instances internationales à se mettre du côté du peuple gabonais comme elles l’ont fait pour les cas de la Tunisie, de l’Egypte et de la Lybie.

Il ne serait pas inutile de conclure qu’au regard des échanges nauséabondes et contreproductifs entre le PS et le PDG, au regard des propos tenus par le candidat du parti socialiste le 12 avril 2012 sur les conclusion de la transition de 2009, en analysant froidement et sans état d’âme la rencontre du 05 juillet 2012 à l’Elysée entre Ali Bongo Ondimba et François Hollande, nous pouvons aisément dire que notre pouvoir n’est plus à couvert et qu’il sera extrêmement difficile pour notre majorité au regard du temps qui ne joue plus en notre faveur de former une chaîne d’union dans la mesure où personne ne souhaite sauver le « régime Accrombessi » que nous n’avons pas choisi en 2009 et qui va désormais assumer les conséquences de son arrogance et des nombreuses humiliations injustifiées qu’il a fait subir aux défenseurs du « régime Ali Bongo » complètement effacé.

Nombreux d’entre nous qui avions cru au réalisme des différents axes du projet de société l’avenir en confiance attendons impatiemment que les  « nouveaux tenants » du pouvoir, la brochette inutile et inefficace d’étrangers étranges, arrogants, incompétents et impopulaires, qui ne dispose d’aucune légitimité et d’aucune crédibilité au sein du pays, descende maintenant sur le terrain pour affronter intelligemment, stratégiquement et efficacement l’overdose intellectuelle qui pilule les cerveaux de l’opposition archaïque version Zacharie Myboto/André Mba Obame devenue responsable et républicaine.

Par ailleurs, si la méthode de déstabilisation via les masses populaires avait su marcher avec Ben Ali, Hosni Moubarak et Mouammar Kadhafi, bien évidement avec la bénédiction de l’Elysée et de la Maison Blanche, en quoi cette méthode ne marcherait-elle pas au Gabon quand on constate amèrement que le nouveau pouvoir en France ne porte pas notre majorité dans son estime et que les deux communiqués rendus publics par la Maison Blanche suite à la rencontre d’Ali Bongo Ondimba et de Barack Obama reflètent également  le degré de considération qu’ont les tenants du pouvoir américain pour le pouvoir gabonais.
Avec autant d’intérêts au Gabon, il sera plus facile en cas de troubles, furent-ils mineurs, pour le nouveau pouvoir français d’acter le départ du chef de l’Etat gabonais qui peine à renforcer sa légitimité qui n’est que la conséquence de sa collaboration injustifiée et injustifiable avec des étrangers étranges, arrogants, incompétents et impopulaires qui ne disposent d’aucune assisse politique au Gabon.

En plus, du fait des choix politiques dignes d’un « Maixent Accrombessi », donc totalement impertinents, nous constatons que le président de la République ne bénéficie plus de soutiens solides et crédibles à l’intérieur du pays. Et, ce n’est pas l’image ou les relations peu enviables dont il jouit à l’extérieur du Gabon qui adouciraient la situation difficile qui nous accable.

Au delà de tout ce qui a été dit, il faut ajouter que le piège précité, l’organisation réussie de troubles pacifiques, pourrait être la dernière étape qui pourrait conduire notre adversaire politique, le fin stratège André Mba Obame, au pouvoir. Que les choses soient dites de manière très claire maintenant: il est de plus en plus probable que le dernier fils politique de Zacharie Myboto, un des fondateurs du Parti Démocratique Gabonais (PDG) et haut dignitaire de la République, parvienne à ses fins au regard de la gestion actuelle du pays et de la frustration débordante suscitée par l’arrogance et l’incompétence des « nouveaux tenants du pouvoir » qui se la joue perso alors que ce pouvoir est NOTRE affaire à tous.

Maixent Accrombessi et sa ribambelle d’étrangers étranges, arrogants, incompétents et impopulaires n’ont pas plus fait campagne pour Ali Bongo Ondimba que quiconque ; En vertu de quoi, lui et ses sbires font subir leurs volontés au peuple gabonais et bénéficient de tous les privilèges du pouvoir ? Nous ne sommes d’accord, ça doit prendre fin très rapidement…

Autrement dit, ce serait par la faute d’un petit groupe que nous risquerons de  TOUS perdre le pouvoir or notre ascension au sommet de l’Etat fut le fruit de notre mobilisation et de la légitimation qu’on y a fait.

Aussi, il convient aux dignitaires du Parti Démocratique Gabonais et de la majorité d’y réfléchir très sérieusement car cela ne peut plus continuer ainsi, ils ont désormais l’obligation de briser le silence qui règne. Maixent Accrombessi et sa collection d’étrangers étranges, arrogants, incompétents et impopulaires doivent dégager.

Ces derniers sont parvenus à réunir toutes les conditions pour NOTRE chute.

Dans notre volonté de faire stratégiquement barrage à l’adversaire qui ne cesse d’avancer intelligemment à pas de géant, il est important de rappeler que, récemment, l’assemblée nationale (AN), le conseil national de la communication (CNC) et le conseil économique et social (CES) ont connu de profonds changements.

Cependant, bien que ces institutions ne gèrent pas les différents processus électoraux, il faut quand même dire que leur instabilité du fait de leur nouvelle composition accouplée à une quelconque modification de la Cour Constitutionnelle, qui devra connaître très bientôt la composition de son directoire, pourrait donner l’entrée du sommet de l’Etat à André Mba Obame.  

En plus clair, si dans le contexte actuel, le chef de l’Etat prend le haut risque d’opérer ne serait-ce que de modestes changements à la Cour Constitutionnelle et au Sénat comme le souhaitent vivement les responsables de l’opposition républicaine, il commettra alors la même faute politique que Laurent Gbagbo qui, trois ans avant les élections présidentielles en Côte d’Ivoire et dans un contexte politique très tendu, s’était amusé à changer les responsables du Conseil constitutionnel. La cacophonie qui émergea entre la Commission Electorale Indépendante (CEI) et le Conseil Constitutionnel de Yao Ndré lui a été fatale car, ce dernier bien que qualifié en la matière, ne disposait d’aucune expérience requise pour gérer les situations de crises post électorales. Ce qui tout simplement précipita la chute du président ivoirien Laurent Gbagbo.

Enfin, si le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, ou son premier ministre, Raymond Ndong Sima souhaitent que la concertation nationale ait un franc succès, qu’ils ne se fassent aucune illusion sur le taux de participation qui viserait à crédibiliser ou à légitimer l’action engagée.

L’opposition version Zacharie Myboto/ André Mba Obame et la société civile crédible version Marc Ona Essangui/ Georges Mpaga & co, reconnues à l’internationale, ne participeront pas à cet évènement annoncé par les services de la primature si il ne prend pas les formes énoncées à Paris par l’opposition, c’est-à-dire celle d’une Conférence Nationale Souveraine. Autrement dit, la non participation de cette frange importante de la vie politique et publique de notre pays n’accordera aucun crédit à l’organisation de cette concertation nationale.

En fait il faut dire que les leaders de l’opposition républicaine et devenue responsable, majoritairement anciens dignitaires du régime en place, savent que c’est toujours sur la base de la concertation politique ou du  consensus, ce serpent de la vie politique du Gabon selon Guy Rossatanga, que l’opposition s’était toujours disqualifiée pour une quelconque alternance politique et démocratique dans notre pays. Or actuellement, les revendications récurrentes des leaders de l’opposition tournent toujours autour de l’alternance politique.

Par conséquent, cette concertation nationale, réalisée par un homme qui ne bénéficie pas du même génie politique que René Ndemezo’Obiang, que Paul Biyoghe Mba ou que Paul Toungui, aura d’énormes difficultés à convaincre aussi bien les populations que les observateurs internationaux. De cette assertion, cette organisation se soldera par l’image d’un bol d’eau versée sur le dos d’un canard et pourra d’ailleurs se constituer en casus belli supplémentaire car le plus évident à l’heure actuelle était la problématique de l’introduction de la biométrie dans le processus électoral.

En définitive, ce n’était certainement pas par l’organisation d’une concertation nationale qu’on aurait pu nous défaire de la rouste politique que nous inflige actuellement André Mba Obame et les siens. Mais c’était en appliquant les recommandations sus évoquées. D’ailleurs, il n’est pas encore trop tard, André Mba Obame n’est pas encore de retour au Gabon.

Par Télesphore OBAME NGOMO   






1 commentaire:

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