samedi 14 juillet 2012

Pourquoi avons-nous dénommé Maixent Accrombessi Raspoutine le pôpô ?

Le nom Raspoutine le pôpô n’a pas été attribué à Maixent Accrombessi pour amuser la galerie ou pour faire joli sur nos papiers car cet homme est un véritable danger pour notre pays et pour les ambitions du président de la République.

Raspoutine est un personnage qui a réellement existé dans les années 1869 du côté de la Sibérie et dont la réincarnation semble s’être produite en Afrique, en terre béninoise avec la naissance de Maixent Accrombessi, il y a environ une quarantaine d’années.

Qui était ce fameux Raspoutine ?

Grigori Iefimovitch Raspoutine dit communément Raspoutine serait né vers les années 1869 dans un petit village sibérien qu’il aurait quitté pour se consacrer à la religion, à la méditation et à l’errance. Après quelques années de ces vagabondages, il acquiert une réputation de saint homme et de guérisseur.

En 1904, il quitte la Sibérie pour se rendre à saint Petersburg et vient demander l’hospitalité à l’Académie de théologie. L’évêque Hormogène et le grand prédicateur Illiodore sont séduits par sa foi et favorisent son entrée dans la société de la capitale.

Dès lors, Raspoutine commence à faire parler de lui. Il est réputé pour faire des miracles, mais également pour être l’initiateur de nombreuses débauches.

La cour du tsar Nicolas III vit un drame familial. Le tsarévitch, Alexis, unique héritier de la couronne, est atteint d’hémophilie, une maladie incurable à l’époque qui se manifeste par une tendance plus ou moins grave aux hémorragies du fait de l’insuffisance d’un facteur de coagulation A ou B dans le plasma.

La réputation de Raspoutine est arrivée aux oreilles de la tsarine Alexandra. Par amour pour son fils, elle convoque le moine guérisseur Raspoutine.

De sources sûres, il est moult fois revenu que Raspoutine atténua à plusieurs reprises les souffrances du petit Alexis. Raspoutine parvint à stopper plusieurs hémorragies qui auraient dû être fatales à l’enfant souffrant. Il le sauva de nouveau lors de graves hémorragies en 1912 et en 1915. Aussi, l’impératrice lui voua une vénération en concluant que Raspoutine était l’homme de Dieu envoyé pour sauver son fils et la Russie.

Chaque fois que Raspoutine se rendait au chevet de l’enfant, le petit Alexis se portait beaucoup mieux. Il était finalement devenu difficile de parler de coïncidences.

Nul ne sait quelle technique utilisait Raspoutine. Une chose était au moins sûre, son influence sur la tsarine et sur la cour était de plus en plus importante.

Jusque là, l’histoire de Raspoutine colle très peu voire très mal avec l’histoire de Maixent Accrombessi. Sauf à faire dans le « journalisme fiction ou mensonger » comme le fait régulièrement la presse collaborationniste à ses ordres qui excelle dans les montages de tout genre. Nous citons « la Griffe de Cotonou, le Douk- Douk mal aiguisé, le Gri- Gri de la Griffe de Cotonou et brouillard du Scribouillard corrompu ».
La famille impériale vouait à Raspoutine une telle amitié qu’on commençait à le surnommer « le tsar au dessus des tsars ». Aussi, Grigori Raspoutine abusait cyniquement de bon nombre de ses admiratrices ou de ses solliciteuses et s’adonnait de plus en plus ouvertement à la débauche.

Son influence atteint des proportions inqualifiables au point que son appartement devint le lieu de passage obligé de toutes les sollicitations possibles provenant des personnages les plus importants. Il est même dit qu’en 1916, le président du conseil, Sturmer, et le ministre de l’intérieur, Protopopov, participèrent aux séances de spiritisme qu’il organisait régulièrement.

Attaqué par la presse, il fait l’objet d’une discussion à la douma (à l’assemblée) en 1912, mais les diverses démarches pour faire comprendre à Nicolas II les risques que court le régime du fait de ses relations avec le prétendu homme de Dieu demeurèrent vaines.

La haine qu’il inspirait devait certainement être à l’origine du mythe de l’omnipotence qu’on lui prêtait. Si la tsarine était à ses ordres, le Tsar ne tenait en réalité pas compte de ses conseils.

Dans ce chapitre de la vie de Raspoutine, on commence à percevoir le profil hideux de Maixent Accrombessi.

En effet, le chef de l’Etat semble accorder une confiance surprenante à un homme qui ne sort de nulle part sinon des valises d’André Mba Obame, son principal adversaire politique. D’ailleurs on peut comprendre la joie incommensurable du nouveau leader de l’opposition quand il constate qu’Ali Bongo Ondimba fait de Maixent Accrombessi son bras droit alors que lui, le considérait comme  son simple porteur de valises. Une sacrée et belle humiliation pour le président de la République.

Puis, aujourd’hui au Gabon, selon de nombreuses affirmations, Maixent Accrombessi semble être devenu incontournable lorsqu’un citoyen gabonais ou une personne étrangère à la famille Bongo Ondimba désire rencontrer le chef de l’Etat. Ce qui ressemble à l’histoire de Raspoutine sous Nicolas II.

Cette situation incomprise et agaçante suscite de vifs débats dans toutes les sphères politiques et publiques du Gabon. De l’opposition aux cercles les plus fermés du pouvoir, la majorité des hommes s’insurge contre l’omnipotence, l’omniprésence et l’omniscience déséquilibrée de Maixent Accrombessi, appelé ironiquement le « président bis ». Quoi de plus jubilatoire pour un néo gabonais, béninois de naissance, que de se savoir important dans un pays comme le Gabon ? Même au Bénin, il n’aurait jamais pu commander ne  serait ce que le plus petit marché de Cotonou.

On constate avec grand regret que même les membres du gouvernement tremblent devant Maixent Accrombessi qui, il y a quelques années encore n’était qu’un simple petit démarcheur immobilier à Paris. Pour se faire une idée de ce « noble » métier, il suffit juste d’acheter le « Zoom » qui sort tous les débuts de semaine et ensuite se rendre dans la rubrique « recherche de studios ou de maisons ». En appelant certains numéros, vous tomberez sur ce qu’on appelle des démarcheurs immobiliers. En d’autres termes, ces hommes ne servent qu’à faire visiter des maisons en vue de leur location. Donc il faut un moment donné arrêter la mystification.
Et, quand on constate que certains membres du palais présidentiel et du gouvernement refusent même d’adresser la parole à toutes les personnes qui osent critiquer et dénoncer l’imposture de Maixent Accrombessi de peur que ce dernier  soit informé de votre liaison, on ne peut que se demander où va-t-on ? Soyons vraiment sérieux un temps soit peu. Où sont la fierté et la dignité de tels personnages ?

C’est dire que le Gabon n’a vraiment plus de lumières. Ni pour le diriger, ni pour l’éclairer et encore moins pour le rendre juste et parfait. Car, quand des hommes s’empêchent d’être libres, il parait évident qu’ils ne peuvent rien bâtir. C’est d’ailleurs Anderson qui l’affirme dans l’une des ses œuvres de l’Esprit prônant la Liberté, l’Egalité et la Fraternité.

Ensuite, attaqué par la presse responsable, républicaine et patriotique, le profil hideux et douteux de Maixent Accrombessi alimente aussi bien les conversations de la masse que les couloirs des diverses administrations. C’est alors qu’on a pu voir la fatwa médiatique qui avait été lancée contre Guy Nzouba Ndama lorsqu’il avait permis à deux parlementaires de s’interroger et de s’inquiéter sur le rôle des agences rattachées à la présidence de la République qui non seulement constituent un boulet politique pour le président de la République en même temps qu’elles assassinent notre administration publique.

Comment allons-nous défendre le bilan d’Ali Bongo Ondimba que nous soutenons lorsque l’avenir semble être de plus en plus flou ? Comment comprendre le sens des priorités actuelles quand on ne voit aucun bénéfice, ni pour les ambitions du chef de l’Etat, ni pour le Gabon et encore moins pour les populations gabonaises ? Comment justifier aux populations gabonaises que notre pouvoir soit incapable de construire les 5000 logements promis par an mais qu’on se tape le luxe de s’offrir à Paris et aux Etats-Unis des biens immobiliers de  plusieurs milliards de Francs Cfa.

Zut, il nous a échappé que Maixent Accrombessi était un démarcheur immobilier et qu’à ce titre, il ne peut que conseiller le président de la République dans  des domaines où il a une modeste expérience.

Comment comprendre que l’agence nationale des grands travaux puisse dépenser plusieurs milliards de francs cfa pour l’organisation d’un forum qui ne nous apportera rien du tout ? Nous nous souvenons quand même que plusieurs milliards de nos francs étaient partis en fumée lors du lancement de la zone économique de Nkok. Aujourd’hui, il nous revient de manière récurrente que la société Olam menace de plier bagages car elle ne voit rien pointer à l’horizon. Est-ce vraiment sérieux de conduire le président de la République sur des chemins aussi tortueux quand on sait qu’il n’y avait pas meilleures manières de contenter les populations gabonaises en leurs offrant des écoles, des hôpitaux et des infrastructures publiques et sociales dignes ?

Comment comprendre qu’avec la crise politique qui sévit dans notre pays, les souffleurs de vent refusent d’anticiper l’avenir politique aussi bien au Gabon que dans le monde entier. Mettre à la porte toutes les personnes qui nous ont guidées durant la campagne présidentielle de 2009 constitue une erreur monumentale pouvant être qualifiée de « faute politique » quand on sait que le changement des relations avec nos anciens partenaires se fera maintenant. Qui ira convaincre tous les soutiens que nous avons perdus de venir soutenir le « régime Accrombessi » qui tente de s’imposer dans notre pays en même temps qu’il nous aide à couler chaque jour que Dieu fait? 

De ce que nous constatons, malgré les nombreuses alertes faites au chef de l’Etat, le silence continue de régner.

Toutefois, si Ali Bongo Ondimba semble être accroché à la mystification de Maixent Accrombessi à qui certains confèrent des « pseudos pouvoirs mystico-fétichistes », il n’en est pas le cas pour son épouse Sylvia Bongo Ondimba qui s’était affranchie des « services » de la femme de Maixent Accrombessi. Ce qui n’est pas un élément négligeable dans la volonté du peuple gabonais de voir Maixent Accrombessi dégager des hautes sphères de l’Etat qu’il squatte malhabilement avec sa ribambelle d’étrangers étranges, incompétents et arrogants.

En 1916, les défaites de la Russie au front et la décomposition de l’Etat suscitent une grande indignation dans tout le pays.

Tout va mal et le responsable est tout de suite trouvé : c’est la mauvaise influence de Raspoutine sur le tsar qui provoque ces désastres. La défaite de la Russie s’explique par le fait que Raspoutine est vendu à l’Allemagne.

Raspoutine devint un monstre à abattre le plus rapidement possible. C’est le jeune prince de 19 ans, Félix Ioussoupov, qui va se charger de cette mission. C’est alors que le 29 décembre 1916, il invita Raspoutine chez lui sous prétexte de lui présenter une femme qu’il désirait depuis longtemps. Avec ses complices, le prince fit préparer des gâteaux imprégnés d’une dose de cyanure capable de tuer 20 personnes et versa en supplément ce poison dans le verre destiné à l’invité.

Arrivé chez l’invité, Raspoutine mangea et but. En principe, une telle dose de cyanure aurait dû le tuer en quelques minutes, mais il continua à se porter comme un charme pendant plus de deux heures.

Le prince était à bout tandis que le moine redemanda à boire. Décidé d’en finir, Ioussoupov prit son révolver et tira à bout portant.
Juste après la détonation,  les complices arrivèrent avec un médecin. Ce dernier examina le corps de Raspoutine qui était toujours vivant.

Enfin, il cessa de respirer et le corps fut descendu au sous sol du palais. Mais, quelques minutes après, Raspoutine se releva et tenta d’étrangler le prince.

Il faudra quatre nouvelles balles et des coups de matraque qui lui défoncèrent le crâne pour que Raspoutine cessa de se débattre.

Les conjurés enveloppèrent alors le corps de Raspoutine et le jetèrent dans la Neva, un fleuve de la Russie issu du lac Ladoga qui se jette dans le golf de Finlande.

Quand on découvrira le cadavre de Raspoutine dans l’eau, on constatera qu’il était toujours en vie quand il a été jeté dans le fleuve. En réalité, Raspoutine est mort noyé.

Il est certain que cette endurance vraiment exceptionnelle ou cette défiance à la mort par Raspoutine a contribué au mythe du surhomme.

Raspoutine était il insensible au poison ? Une chose est sûre, il possédait une constitution hors du commun.

Dans le cas de l’hégémonie de Maixent Accrombessi dans les hautes sphères de l’Etat, il faut dire que les choses vont de plus en plus mal au Gabon.

En effet, il ne faut pas s’attendre à ce qu’une souris accouche un éléphant. Le background de Maixent Accrombessi est connu, de même que son passif et son passé professionnel. De ce fait, il ne sert à rien que ses thuriféraires, opportunistes pour deux sous, tentent de lui tailler un profil de lumière. Un des avantages de la France est que le service d’archivage est d’une clarté et d’une richesse impressionnante. Aussi, on peut trouver des éléments probants, clairs et précis sur Maixent Accrombessi.

En défenseur du réalisme du projet de société « l’Avenir en confiance » et en éclaireur de la politique annoncée par Ali Bongo Ondimba en 2009, nous ne pouvons qu’affirmer que c’est la mauvaise influence de Maixent Accrombessi, Raspoutine le pôpô, sur le chef de l’Etat qui nous pousse chaque jour vers la perte du pouvoir.

Trop d’effets d’annonces, trop de frustrations, trop d’humiliations, trop de gabegies, trop de suspicions, trop de courtisaneries, trop de charlatanisme, trop d’absence de crédibilité, trop d’impopularité, trop d’incompétence, trop d’arrogance, trop de mystification, trop d’incohérences, trop d’incompréhensions, trop de faux experts, trop d’impunité, trop d’étrangers étranges, trop de violences, trop de décisions irréfléchies et inadaptées, ne peuvent que susciter de vives tensions explosives dans le pays alors que les conditions et les causes de la chute d’Hosni Moubarak en Egypte, de Ben Ali en Tunisie, de Mouammar Kadhafi en Libye devraient interpeller davantage le chef de l’Etat mais surtout les membres de la famille Bongo Ondimba qui resteront les grands perdants en cas de chute.

En d’autres mots, lors de la chute des présidents précités, c’est d’abord à leurs familles qu’on demanda des comptes. C’est alors que tous leurs biens ont été confisqués et leurs présences dans le pays ont été jugées indésirables à défaut de subir une chasse à l’homme. Est-ce ce même avenir que la famille Bongo Ondimba souhaite s’offrir au regard de la passivité et de l’impuissance qu’elle affiche face à l’omnipotence de Maixent Accrombessi et de sa ribambelle d’étrangers étranges qui abusent de nos places au sommet de l’Etat ?

Le cas de Maixent Accrombessi qui sabote davantage tout le travail des pères de l’indépendance de notre pays qui prônaient « Gabon d’abord » devient de plus en plus problématique et devrait susciter plus de solidarité patriotique pour l’avenir de notre pays et de nos enfants.

Pendant que de nombreuses familles au Gabon croupissent dans la misère, le chômage et la maladie, la famille de Raspoutine le pôpô vit paisiblement en Occident en profitant des voyages en première classe, des hôtels et des magasins les plus luxueux du monde, des restaurants les plus couteux, des écoles les plus prestigieuses, du confort le plus insolent. Et tout ceci avec l’argent du contribuable gabonais. Est-ce vraiment sérieux et acceptable ?

D’aucun serait tenté d’accuser le président de la République que nous ne tenterons point d’excuser dans ce théâtre humiliant, mais il faut tout de même rappeler aux uns et aux autres que, dans la situation qui nous accable, chacun devra prendre sa part de responsabilité. Si Raspoutine le pôpô est arrivé jusqu’à ce niveau, c’est tout simplement parce que des compatriotes imprudents et égoïstes ont favorisé cette ascension puante.
C’est l’occasion de dire que ce sont les malades qui ont besoin du médecin et non les bien- portants. Par conséquent, il conviendrait d’aider notre pays et Ali Bongo Ondimba à se débarrasser de « cette puce » tenace et coriace qui nous a suffisamment pompé de francs CFA.  

Autrement dit, il faut continuer à secouer le cocotier, le pôpô va bientôt tomber.

Maixent Accrombessi capitalise tellement d’aigreur qu’il est impossible qu’il tienne jusqu’à la fin du mandat, si nous y arrivons. Sa seule présence aux côtés du chef de l’Etat exige aux populations de tourner le dos à notre projet de société « l’Avenir en confiance ».

Sans pour autant s’investir dans la méthode du jeune prince, tant la vie d’un homme est sacrée même si elle est parfois entachée de sacrilèges et de sortilèges, nous allons non seulement appliquer une formule très efficace en communication politique et publique qui dit « qu’il faut communiquer, communiquer encore et communiquer toujours » et aussi épouser les mots de Valéry Giscard d’Estaing qui soutenait « qu’il faut laisser les choses basses mourir de leur propre poison ».

Nous n’oserons point sous-estimer  l’influence nocive et négative que Maixent Accrombessi pourrait avoir sur le chef de l’Etat mais nous lui dénions tous pouvoirs extraordinaires au risque de verser dans le cautionnement de sa théorie de la « mystification » ou de la « prestidigitation mystique ».

Quand soit même on est assez souvent terrassé par des tourmentes médicales et sanitaires de petites natures, on ne peut qu’affirmer que la dimension de surhomme est rapidement battue en brèche. C’est en ce sens qu’on pourrait rejoindre les latins qui disaient : « medice te cura ipsum ». En d’autres mots, médecin, guéris-toi, toi-même. 

Nous soutenons objectivement que Maixent Accrombessi se trouvait à la bonne place, au bon moment et au bon endroit lorsqu’il s’est agi de  faire le choix qui l’a porté à la tête de la direction du cabinet présidentiel. Par conséquent, il est inutile de lui conférer des « pseudos pouvoirs mystico-fétichistes » qui auraient pu directement faire de lui le président de son pays au lieu d’être le premier porteur de valises de notre président de la République après avoir été celui d’André Mba Obame.

Aussi, il convient de dire que si sa force spirituelle est si forte que cela, pourquoi n’implore t-il pas les astres à sa portée afin qu’ils lui accordent un rendez vous porteur avec l’estime et la crainte du peuple gabonais ?

Maixent Accrombessi alias Raspoutine le pôpô n’est qu’un mystificateur de plus que le monde des illusions ait accouché.

Peuvent croire au charlatanisme de Raspoutine le pôpô tous ceux qui le veulent bien. Cependant, nous souhaitons juste rappeler à ces individus peu éclairés que « les mêmes causes ont toujours produit les mêmes effets » et que « la mort d’un homme n’est que le reflet de sa vie ».

Par ce parallélisme entre la vie de l’ancien Raspoutine et le nouveau qui infeste les hautes sphères de l’Etat gabonais, nous avons voulons démontrer que Maixent Accrombessi qui ne cherche pas à regarder l’étoile flamboyante s’expose à demeurer une pierre brute que ni le maillet et le ciseau ne pourront travailler.

A bon entendeur…

Par Télesphore OBAME NGOMO

 




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