Pendant
plus de deux ans, Raphael Ntoutoume Nkoghe, l’unique conseiller d’Ali Bongo
Ondimba, ou Sabrina COURTOIS, la rédactrice en chef de la presse
collaborationniste aux ordres du seul béninois de Bongoville et du premier
somalien de Ndjolé, s’est permis d’insulter ses propres compatriotes pour faire
plaisir à on ne sait trop qui.
Et
voici qu’après de nombreux avertissements respectueux et courtois, à ne pas
confondre avec le nom de son amant Jean Pierre COURTOIS, un ancien ambassadeur
de France au Gabon, nous avons démasqué son vrai visage grâce au livre
« Lumière sur le Gabon » dans lequel il insultait copieusement Omar
Bongo, Ali Bongo, le PDG et le régime en place qu’il sert avec un zèle que
n’ont même pas les PDGistes de la première heure.
Ne
sachant plus à quel génie et à quelles pratiques de sorcellerie se vouer, la
miss Esserenguila comme on l’appelle affectueusement au palais du Bord de Mer
multiplie les sorties intempestives signes d’un personnage plus que jamais aux
abois. Tout le malin qu’elle aimait faire s’est envolé comme les pétards
mouillés qu’elle voulait servir à ses derniers admirateurs : des soit
disant tentatives d’assassinat qui n’ont ni tête, ni queue.
D’abord,
celui qui se fait passer pour l’unique conseiller du président de la République
monte une histoire à deux francs six sous selon laquelle Franck Nguema,
directeur général de TV+ en voulait à celui qui affirmait dans son livre
« Lumière sur le Gabon » qu’il était un journaliste déterminé,
provocateur et qui avait le don d’indisposer le régime. Pas seulement à cause
de ses écrits, mais surtout parce qu’il n’a jamais voulu composer avec le
pouvoir, repoussant toutes les offres qui lui ont été faites et éprouvant une
souveraine indifférence à l’égard de l’argent du palais présidentiel.
Comme
le monde entier doit certainement le constater, si Raphael Ntoutoume Nkoghe qui
travaille à la présidence de la République depuis 2007, d’abord comme
conseiller d’Omar Bongo puis comme « maître à penser » d’Ali Bongo
Ondimba, a bel et bien repoussé très loin toutes les offres qui lui ont été
faites y compris l’expression d’une souveraine indifférence à l’égard de
l’argent du palais présidentiel, il n’en demeure pas mois qu’il est effectivement
resté une boule puante qui indispose le pouvoir d’Ali Bongo Ondimba.
Car,
voir un conseiller de président de la République se comporter tel que le fait
Raphael Ntoutoume Nkoghe, on ne peut que se demander où sommes nous, mais
surtout Ali Bongo était-il finalement sincère quand il parlait d’erreur de
casting le 16 octobre 2010?
Tout
d’abord, Raphael Ntoutoume Nkoghe s’est cru en droit d’insulter les diplomates français en fonction au Gabon pour
avoir donné des visas aux membres de l’opposition. Puis, il s’est permis « COURTOISement »
d’insulter Béchir Ben Yahmed, le fondateur du magazine panafricain « Jeune
Afrique » dans lequel, au numéro 2695 du 2 au 8 septembre 2012, le chef de
l’Etat est allé longuement s’exprimer sur la situation du Gabon devant le stylo
de Marwane Ben Yahmed. Inutile ici de préciser que ce dernier est le fils de
Béchir Ben Yahmed.
Ensuite,
le même sulfureux conseiller s’est permis d’insulter Pascal Canfin, le ministre
français chargé du développement, Jean Marc Hérault, le premier ministre de la
France ainsi que François Hollande. A cet effet, nombreuses sont les personnes
qui ont été plus que surprises de voir « le néo député », Sabrina
Courtois, en vadrouille en France, non plus pour rencontrer son ancien bailleur
de fonds, le gaou ayant percé au palais présidentiel, mais pour tenter un
acoquinement avec les amis politiques de ceux qu’ils insultent régulièrement
dans la « Griffe de Cotonou », le « Douk Douk mal
aiguisé » et « le Gri-Gri venu de Cotonou », actuellement bloqué
pour effets plus que nocifs à la crédibilité du pouvoir PDG.
En
plus, c’est toujours et encore le seul conseiller disant être l’inspirateur du
président Ali Bongo qui s’est offert la liberté d’importuner Vincent Hugeux, un
journaliste français du magazine « L’Express », qui avait fait un
véritable recoupage d’informations suite à l’imposture et à l’humiliante escroquerie
savamment démasquée dans laquelle le seul député nommé par Maixent Accrombessi
et Liban Suleimane s’est « COURTOISement » investi.
Comme
si ses délires nauséabondes précités, massacrant
la crédibilité d’Ali Bongo, ne suffisaient pas, Raphael Ntoutoume Nkoghe, en
mythomane et en manipulateur de première classe, s’est permis en tant que
lumière à penser et à écrire de la présidence de la République du Gabon à
s’investir dans le « journalisme pornographique » entraînant dans sa
folie déclarée le corrompu de Placide Moulakou, patron du journal « Le
Scribouillard de Mogadiscio », mis en chômage pour suivisme aveugle.
C’est
encore ce même Raphael Ntoutoume Nkoghe, le plus influent employé de la
présidence de la République après Raspoutine le pôpô et la petite
« Touareg », peinant de voir
les honneurs et les privilèges dont jouit l’ancien directeur de campagne
d’André Mba Obame dans l’Ogooué Ivindo lors de la présidentielle anticipée de
2009, qui décida d’assassiner sauvagement ses deux pigeons et son pauvre petit
canard, oubliant au passage la maigre chèvre et les petits crocodiles qui
pourraient peut être subir le même sort au prochain épisode.
Manque
de bol, croyant créer le buzz en invitant ses amis journalistes à faire un
reportage sur ce fait tragique, personne n’y prête attention au palais
présidentiel. Ali Bongo étant concentré sur ses déplacements présidentiels.
Maixent Accrombessi et Liban Suleimane, trop concentrés à compter les milliards
de francs cfa issus des queues de crédit en cette année finissante. Laure Olga
Gondjout, patron de l’administration à la présidence de la République, préfère
se concentrer sur les affaires du pays qui semblent plus préoccupantes et plus
passionnantes que la mort brutale de deux pigeons et d’un petit canard coûtant
respectivement, 8.400 francs cfa pour les premiers et 3.200 francs cfa pour le
dernier. Surtout qu’elle connaît bien l’intéressé et ses manœuvres.
Abattu
par cette collection d’échecs, Raphael Ntoutoume Nkoghe revient sur le cas de Franck
Nguema en y associant cette fois-ci la mère de ce dernier, l’ancien ministre de
la communication Angèle Ondo et en ajoutant le label, neveu d’André Mba Obame,
comme s’il espérait que cet ajout donnerait une quelconque importance à son
mensonge totalement ignoré par les tenants du pouvoir.
Cependant,
il faut quand même rappeler que cette affaire de couette dont il parle sent un
air de déjà lu.
En
effet, dans son livre « Lumière sur le Gabon », accusant Omar Bongo
d’avoir tribalisé le Gabon, Raphael Ntoutoume Nkoghe, parlant de la présidente
de la Cour Constitutionnelle reconduite par Ali Bongo, disait: « Et pour ne rien laisser au hasard, Omar a
même prévu de n’accorder aucune issue aux protestations. Comme on le sait, le
contentieux électoral a été confié à ce même judiciaire sous tutelle de
l’Exécutif. Avec tout de même une touche
sentimentale : il a en effet attribué à une cour constitutionnelle
pédégisée et présidée par sa propre
maîtresse l’entière gestion du contentieux électoral. Pas besoin de sortir
de Sciences Po pour comprendre la situation de soumission d’un pouvoir
législatif fabriqué par l’Exécutif à travers un Judiciaire lui-même sous
contrôle de l’Exécutif, pour ne pas dire
sous la direction de l’oreiller présidentiel… ».
Voici
comment Raphael Ntoutoume Nkoghe, en parlant d’Angèle Ondo, oublia qu’il avait
déjà tenu les mêmes propos à l’endroit de Marie Madeleine Mborantsouo qui vient
d’être reconduite par Ali Bongo au poste de présidente de la Cour
Constitutionnelle. Or, l’opposition gabonaise dénonce une gestion familiale du
pouvoir. Et en même temps, André Mba Obame et certains membres de cette
opposition détiennent les pages de son livre « Lumière sur le Gabon »
dans lequel il insulte la famille Bongo, le pouvoir PDG et le régime en place. Il suffit que ces
derniers offrent ce livre aux partenaires et aux pairs d’Ali Bongo en précisant
que ce livre a été écrit par l’unique conseiller de ce dernier pour qu’il soit
totalement discréditer à l’international. Cancritude quand tu infestes le pois
chiche de Raphael.
Dans
sa dernière trouvaille parue dans la « Griffe de Cotonou », au numéro
514 du vendredi 05 octobre 2012, la miss Esserenguila sort ses vieilles
recettes qui lui avaient ouvert les portes du palais présidentiel tant
repoussées. C’est la vie privée d’Angèle
Ondo et de feu Omar Bongo qui avait eu pitié d’un ancien malade mental en quête
de reconnaissance existentielle qui est mise à l’honneur pensant offenser
Franck Nguema, le fils de celle ci. Mais ce que ce conseiller aux multiples
vices ignore, c’est que Franck Nguema au moins ne confond pas sa génitrice et
son épouse.
Omar
Bongo dont il a été le bourreau et l’esclave disait : « le Gabon est
une maison de verres ». Et si la miss Esserenguila réfute nos affirmations
sus évoquées, nous offrirons au peuple plus de détails. Ce conseiller aux abois
doit comprendre que la politique de gestion héritée d’Omar Bongo n’est pas
prête de disparaître. C’est dire qu’en même temps que son ancien patron servait
la gauche en millions d’euros et en stratégies pour battre la droite, il
faisait autant pour cette dernière. Comprendrons ceux qui ont des oreilles et
une modeste intelligence.
Une
fois le chapitre de Franck Nguema ayant fait de nouveau pschitt, Raphael
Ntoutoume Nkoghe le seul conseiller de la présidence de la République revient à
la charge en voulant s’offrir Marc Ona Essangui.
Nous vous livrons fidèlement les propos du lumineux
conseiller d’Ali Bongo envoyé à Marc Ona et à sa mailing liste le 09 octobre
2012 à 11h54 afin que vous appréciez le niveau de l’état psychologique et
intellectuel de cet opportuniste démasqué : « Mais mon frère,
tu sais bien que s'il y a une chose que je ne connais pas, c'est la peur. Du
moment de la toute puissance d'Omar Bongo Ondimba, j'ai été le seul journaliste
dans ce pays qui signait les articles virulents de son propre nom alors que
tous tes amis, je dis bien tous, se réfugiaient courageusement derrière des
pseudos. Ce n'est donc pas aujourd'hui et surtout dans la position qui est
la mienne que je vais avoir peur. Je n'ai pas découvert le courage en 2009
comme tes amis Petit-Lambert Ovono et Télésphore Obame Ngomo, dont je n'ai
lu, avant 2009, aucun article critiquant le régime comme ils le font
aujourd'hui. Pour le reste, ma cour n'est pas sale car est toute pavée. Et les
pavées de haute qualité qui n'ont rien à avoir avec la cour de la jungle dans
laquelle tu es né avant de venir découvrir la civilisation chez moi.
Maintenant, oses publier cette réponse sur ton "mur" ».
Voici les propos clairs de Raphael
Ntoutoume Nkoghe à Marc Ona qui confirment que tout le mal qu’il fait aux
paisibles citoyens gabonais à travers ses journaux est bel et bien commandité
au palais présidentiel sous l’inspiration de Maixent Accrombessi et Liban
Suleimane dont il affirme à qui veut l’entendre qu’ils sont ses principaux
protecteurs. En plus, pourquoi ce conseiller opportuniste qui préférait
insulter Omar Bongo au lieu de lui porter des critiques objectives, tente
aujourd’hui de diaboliser ceux qui dénoncent les travers d’une gestion
objectivement décriée par la majorité des gabonais et par les institutions
internationales ?
Enfin, voici le niveau d’un conseiller d’un chef d’Etat qui s’est
permis de rajouter dans une de ses proses : « A Rio, Marc Ona avait pourtant mouillé le
maillot en faisant feu de tout bois, pour annoncer, trompettes hurlantes, la
présence d’AMO. Une présence qui devait attirer les foules à Rio. Même s’il n’a
toujours pas compris que la toile reste avant tout un univers virtuel, Marc a
donc tout misé sur Internet ».
Cependant, Sabrina COURTOIS dont le
nom a finalement mystérieusement disparu des colonnes de la « Griffe de
Cotonou » depuis sa mise à nue oublie que son torchon de service n’est
rempli que de faits virtuels puisés sur Internet. Est-ce une preuve que le
degré de mensonges acceptables a atteint son paroxysme et que les vieilles
recettes ne séduisent plus?
Nous attendons la réaction prochaine de
la miss Esserenguila dans ses journaux, cette assassine des poules de la
République qui aime et remplit sa presse collaborationniste de réel et non de
virtuel. Tout en espérant qu’elle fera paraître dans ses outils de propagande à
la gloire d’Accrombessi et de Liban Suleimane, les nouveaux milliardaires
africains, le feuilleton « Lumière sur Raphael Ntoutoume Nkoghe » que
nous reprendrons sur le monde virtuel.
Par Télesphore OBAME NGOMO
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